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581596 Posts in 74166 Topics by 29442 Members - Latest Member: Dodo23 May 22, 2024, 05:34:49 am
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Author Topic: Histoires de FBB's / FBB Stories «en FRANÇAIS / in FRENCH»  (Read 39217 times)

Offline mermoz

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Histoires de FBB's / FBB Stories «en FRANÇAIS / in FRENCH»
« on: January 08, 2008, 08:07:07 pm »
BONJOUR! ^-^

Stories in this collection / Histoires dans cette collection:

Véronique by/Par mermoz

Superpower Story by/Par mermoz

Muscles by/Par crushee

Marie Ber by/Par terminosaurus

Numéro 6 by/Par Ozzyfm

Flamme, une odyssée stellaire by/Par Elamnouche

Extase à Tidika Beach *prevu* by/Par martineindigo

LE GARDIEN D'IMMEUBLE by/Par shanghai

Fantasme de bodybuildeuse by/Par petitskinny

Puni par l’immense femme de ménage africaine by/Par petitskinny

Dépucellé par une jeune géante  by/Par petitskinny






Véronique
by/Par mermoz

Claire et Véronique étaient en train de boire un café. Claire était vautrée dans le profond fauteuil du salon tandis que Véro était à demi allongée sur le sofa. Elle tendait sa jambe en l’air en contractant les muscles de sa cuisse et en étirant son pied.
-   Mmmm ça fait du bien de se reposer un peu ! C’est sympa de m’avoir invitée à passer quelques jours chez vous…
-   Ca faisait si longtemps
-   Oui plus de quatre ans !!!
Tout en parlant, Véro caressait de sa main sa cuisse musculeuse gainée d’un collant blanc sans pied, qui laissait paraitre les détails de sa musculature puissante
-   Qu’est ce que tu t’es musclée en quatre ans !
Reprit Claire qui fixait la jambe de Véro, en la comparant mentalement à la sienne, de loin moins massive et moins ferme..
-   Ah ça ! entrainement, suppléments alimentaires…. Ca me passionne de sculpter mon corps, mais ce qui me passionne le plus c’est la force que j’ai acquise…J’adore cette nouvelle puissance, la nouvelle manière d’utiliser mon corps…
-   Ah ? Et avec les hommes ?
-   Ha ha !! Alors la j’ai déjà eu des petits problèmes !!!
-   Quoi donc ?
-   J’ai cassé souvent quelques cotes et une fois un bassin !!!
-   Non !!! Le bassin d’un gars ?
-   Ben…Il était mignon, mais il était tout chétif ! Je suis sure que mes deux jambes pèsent plus lourd que lui !
-   Et qu’est ce qu’il est devenu ?
-   Je ne sais pas. Je suis allé le voir à l’hôpital une ou deux fois….
Véro reposa sa jambe sur le sofa. C’est à ce moment que Jean entra. Le garçon mince était vêtu d’un T-shirt trop grand et d’un vieux jean couverts de tâches de peinture et de poussière de plâtre. Il était en sueur.  Il se pencha vers Claire pour l’embrasser
-   Salut ma chérie !
-   Salut ! Tu as bien travaillé ?
Il se releva et salua Véro d’un sourire
-   Bonjour Véro !  Tu vas bien ?
-   Très bien merci
Puis se relevant tout à fait et tournant autour de la table basse, il fit tomber un verre. Celui-ci ne se cassa pas mais roula sur quelques dizaines de centimètres et s’arrêta près du sofa de Véronique.
-   Quelle journée ! J’ai passé ma vie à décoller du papier et retirer de vielles baguettes. Mais demain ca va être autre chose : je dois retirer l’ancien chauffage central et le copain qui devait m’aider ne peut pas venir. Il va falloir que je me débrouille tout seul.
Claire expliqua
-   Oui, nous avons acheté un nouvel appartement…Mais c’est vétuste il y a tout à refaire !
-   Je pourrais peut-être vous aider ?
Proposa Véro.  Jean eut un sourire.
-   Tu sais c’est assez physique !!
Claire explosa de rire !
-   Mon pauvre Jean ! Je crois que Véronique est au moins dix fois plus forte que toi !
Jean regarda le biceps de Véro et piqua un fard. Il bredouilla
-   Oui mais faut savoir….
-   Jean, si tu as encore un peu d’énergie, on pourrait faire visiter l’appartement à Véro !
-   Euh… oui,
Véro s’était levée du sofa
-Allons-y.
Sans y prêter attention, elle posa le pied sur le verre tombé. Jean le vit au dernier moment il ouvrit la bouche mais n’eut pas le temps de dire quoi que ce soit, Véro avait marché sur le verre qui s’était brisé sous son pied nu. Elle ne parut pas s’en rendre compte et écrasa les tessons sous sa plante. Lorsqu’elle leva son pied, le verre broyé était réduit en poudre. Le visage incrédule de Jean fit rire Véronique.
-   Eh bien ! qu’est ce que tu as à me regarder comme ça ?
-   Euh… Le …le verre ….
Jean pointait du doigt le verre brisé aux pieds de Véronique.
-   Ah ça ! Ce n’est rien ! J’ai l’habitude. Je marche souvent pied nus, alors mes pieds se sont endurcis à force. Il y a peu de choses qui peuvent les couper je crois.
Et sans jeter un regard derrière elle, elle emboita le pas à Claire. Jean les suivit. Il admirait les fesses et les cuisses de Véro, imposantes et musclées sous le fin collant. Par transparence on devinait son string.
Le nouvel appartement était situé à quelques centaines de mètres. Jean ouvrit la porte avec difficulté et ils pénetrèrent dans un local vétuste et poussiéreux.
-   Il va falloir que j’abatte ce mur la pour dégager l’entrée…
Véro s’approcha de la cloison. Elle passa doucement sa main sur le plâtre nu, puis serra le poing qu’elle ramena au niveau de sa taille. Puis elle détendit son bras, et dans un claquement le poing percuta le mur de briques. La cloison fut ébranlée et un petit nuage de poussière s’éleva. Véro lança son autre poing au même endroit. Le mur s’enfonça un peu plus. Au troisième coup, le poing passa à travers la cloison. Elle continua encore trois ou quatre fois arrachant à chaque fois plusieurs briques qui tombaient dans un nuage de poussière. Lorsque le trou eut environ 60 cm de diamètre, elle se recula pour admirer son œuvre. Elle parut satisfaite, s’écarta d’environ un mètre et décocha un coup de pied circulaire qui arracha toute une partie de la cloison, qui s’effondra, laissant un trou de près d’un mètre. Elle ramena doucement son pied maculé de poussière et  donna un autre coup semi-circulaire avec l’autre pied, qui fit littéralement exploser  un bon quart de la cloison. Deux autres coups firent tomber ce qui restait des briques comme s’il s’était agi d’un jeu de construction pour enfant. En quelques minutes, la cloison n’était plus qu’un tas de gravats. Les pieds de Véro étaient maculés de poussière rouge
-   Tu vois ce n’est pas bien difficile !...Et tu as raison ! ca dégage une belle superficie pour le Hall, on se rend mieux compte maintenant
Claire s’approcha de Véro et caressa sa fesse discrètement sans que Jean ne le remarque. Celui-ci examinait les restes de la cloison que Véro avait détruite en quelques minutes. Il avait prévu trois bonnes heures pour faire ce travail ! Il ne restait qu’un amas de briques, la plupart brisées et certaines en petits fragments, certainement pensa t’il aux endroits d’impact du pied de Véro contre le mur. Lorsqu’il se retourna pour rejoindre les filles, Jean crut voir Claire donner la main à Véro. Il les regarda partir ensemble et les suivit. Claire continuait la visite
-   Alors la on mettra la cuisine….Il faut retirer l’ancien évier….
Claire fit un clin d’œil à Véronique. Celle-ci s’approcha de l’évier et leva sa jambe droite à la verticale au dessus de sa tête. Elle resta un instant en appui sur sa jambe gauche, dans un équilibre parfait, et caressa sa cuisse en regardant Claire avec insistance.
-   A ton avis, combien de coups pour le casser ?
-   Mmm je ne sais pas, tes cuisses sont si puissantes… Un seul?
-   Moi je dirais au moins deux ou trois, ces vieux trucs sont résistants, c’est du ciment
Dit Jean qui venait de se rapprocher d’elles
Véro abattit sa jambe sur l’évier qui explosa litérallement sous le choc, projetant des fragmenst dans toute la pièce. Après un seul coup, il ne restait quasiment rien. Les montant de l’évier avaient été détruits à 50 cm du sol
-   Et voilà ! Claire à gagné !!
Dit Véronique d’un ton enjoué
-   J’ai gagné quoi ?
-   Un baiser ca te dis ?
Véronique ne répondit pas mais respira un peu plus fort. Claire compléta son œuvre destructrice en donnant deux coups dans ce qui restait  des soubassements de l’évier, les brisant à quelques centimètres du sol, et elle cassa les plus gros blocs de deux coups de poing. Les filles continuèrent leur visite. Claire s’adressa à Jean
-   Pendant que l’on continue, tu n’as qu’à prendre un balai et commencer à nettoyer les gravats de l’évier  chéri !
Jean ne répondit pas. Il risqua un regard à Véro qui lui sourit, et les deux filles passèrent dans le séjour. Claire expliquait comment elle allait aménager la pièce centrale de l’appartement de ses rèves….
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Offline mermoz

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Auteur/Author: [mermoz] Superpower Story <en FRANÇAIS / in FRENCH>
« Reply #1 on: November 15, 2009, 05:44:59 am »
Superpower Story
by/Par mermoz
___________________________________

La fête battait son plein dans le parc écrasé par la chaleur tropicale. David Koroviev affichait un sourire satisfait en parcourant du regard la foule de VIP qui se pressait autour de la piscine somptueusement décorée. La présence de nombreuses célébrités matérialisait sa réussite internationale. Lui, le fils d’ouvrier d’un kolkhoze de la région d’Ekaterinbourg était parvenu, ici, dans la cité des anges, à connaitre personnellement toutes ces figures qui font la couverture des journaux « people ». Mais si tous étaient réunis ici, ce soir, c’était pour fêter l’anniversaire de son ami, le célèbre acteur Clark Douglas, l’homme aux 9 oscars et aux innombrables femmes, le monstre sacré de la MGM.
Sur les coups de 21 heures, il arriva, dans une énorme limousine noire. Comme d’habitude, il était escorté de ses deux gardes du corps, Marie et Louise.
Marie était une superbe noire tandis que Louise était asiatique. Leur allure et leur attitude les mettaient toujours au centre de l’attention de l’assistance. Elles mesuraient toutes les deux 1,85 m et leur musculature était impressionnante, ce qui n’ôtait rien de leur féminité, qu’elles mettaient toujours en valeur par des tenues plus que provocantes, comme le milieu artistique peut seul en inventer. Depuis que Clark s’était essayé à chanter (il ne chantait pas très bien, mais sa stature de vedette de cinéma l’avait immédiatement propulsé au rang de star du rock), Louise et Marie étaient devenues ses danseuses attitrées. On les voyait ainsi sur les plateaux de télévision enchainer des chorégraphies superbes que seules leurs qualités athlétiques hors normes leur autorisaient.
Mais de curieuses légendes trainaient autour des deux filles. Elles avaient cultivé un coté violent par des démonstrations de force dans des réunions privées. Bien sur rien n’avait jamais été filmé mais on parlait de faits extraordinaires, comme des barres tordues avec une déconcertante facilité, des fruits broyés, des ballons écrasés, des portes défoncées, et même une maison détruite à coups de pieds et de poings à la suite d’un pari…Après tout, un acteur aussi exceptionnel que Clark ne pouvait avoir qu’un entourage exceptionnel !!! A partir de là bien sur, la rumeur publique avait brodé et on disait avoir vu le couple de filles dans les bas fonds de Los Angeles en compagnie de dealers, dont certains auraient après leur rencontre mystérieusement disparus. On avait parlé de corps atrocement broyés et mutilés retrouvés dans des endroits isolés. Mais tout cela n’était bien sur que des « on dit »….
Personne ne savait que les danseuses – garde du corps de monsieur Clark Douglas étaient en fait le produit d’expérimentations de la CIA, qui avait cherché à créer le soldat parfait voici environ 20 ans. Louise et Marie avaient été sélectionnées dès leur naissance et avaient fait l’objet de modifications génétiques et d’un entrainement poussé. Elles avaient développé une force surhumaine, une agressivité et un sadisme majeurs. Leur comportement sexuel extroverti s’accompagnait d’un psychisme de prédateur. Clark les utilisait pour ses basses œuvres, ses relations avec le milieu de la drogue qui a tant de points d’achoppement avec celui du show biseness. Dans ce milieu ou l’omerta est la règle, le duo sanguinaire était bien connu, craint et respecté.
Clark avait récupéré les deux filles en versant une somme colossale à la CIA, qui avait décidé d’abandonner le projet estimé trop couteux. Les ingénieurs généticiens avaient continué à travailler pour l’acteur dans un laboratoire ultrasecret, et l’expérience avait finalement été menée à terme avec succès.
Ce soir là, Louise et Marie étaient tout sourires aux cotés de leur patron. Elles étaient vêtues de façon identique d’une guêpière, d’un string et de bas résilles jaunes pour Marie et noirs pour Louise. Toutes deux étaient bottées de longues cuissardes souples et vernies de la même couleur que leurs vêtements.
Elles protégeaient leur patron de happy few qui formaient un rang d’honneur le plus serré possible pour approcher leur vedette…à moins que ce ne soit le désir de frôler les muscles durs comme de la pierre des deux filles. Clark saluait, souriait à l’un, serrait la main de l’autre tout en progressant péniblement vers une estrade tendue de rouge qui trônait au bout de la piscine, et sur laquelle trois musiciens jetaient des accords endiablés pour chauffer les invités. Le plancher de cette estrade était de bois, et une barre comme on trouve dans les salles de danse était fixée au fond.
Finalement le trio parvint jusqu’à l’estrade et monta les quatre marches alors que les musiciens redoublaient d’ardeur et entamaient l’intro de « I can’t stop loving you babe », LE tube mondial de Clark. Marie et Louise commençaient à se trémousser en cadence sur les marches d’escalier, et dès
qu’elles furent installées sur l’estrade elles enchainèrent des pas très amples où elles levaient la jambe tendue bien au-dessus de leur tête dans un mouvement à la fois puissant et gracieux. Ce n’était pas tout à fait de la danse, ce n’était pas tout à fait des arts martiaux, ce n’était pas tout à fait du mains à mains, mais c’était les trois à la fois. Au cours de leur démonstration, Marie s’accroupissait, Louise montait sur ses mains avec ses cuissardes noires à talons aiguilles et d’un geste fluide Marie se relevait tenant dans ses paumes ouvertes les talons pointus de Louise, qui se tenait debout, bien droite. Après quelques mouvements des bras en rythme, Louise d’une détente de ses jambes puissantes s’élevait dans l’air pour atterrir au bord de l’estrade après un double saut périlleux. Le couplet suivant, les choses s’inversaient et les mains manucurées de Louise supportaient sans effort les pieds bottés de jaune de Marie, qui elle aussi se planta au bord de l’estrade après un saut acrobatique. Les musiciens jouèrent ensuite « Keep the night black for us », qui avait valu à Clark un disque d’or ; les invités étaient subjugués. La voix de Clark était profonde et sensuelle, les acrobaties des deux filles étaient de plus en plus extraordinaires. On commençait le 3ème morceau, le célèbre « I just said that my love is true » lorsque le public situé près de l’estrade s’anima un peu : trois agents de sécurité poussaient devant eux trois paparazzi à qui ils avaient confisqué leurs appareils photos. Clark s’arrêta de chanter et se tourna vers les perturbateurs. La musique n’avait pas cessé mais reprenait en sourdine un accord d’accompagnement en boucle. Il y eut un moment de flottement, le temps que Clark soit mis au courant de l’incident. Comme toutes les vedettes Clark n’aimait pas les paparazzis. Cela remontait au temps où l’on avait publié des photos de sa première femme pendant sa chimiothérapie. L’ex-mannequin avait été mortifiée de se voir jetée en pâture au public alors qu’elle se battait contre la maladie. Il s’adressa au public dans le micro
- Les amis ca vous dirait de voir Louise et Marie s’occuper de ces minus ?
- OUIIIIIIIIIIII répondit la foule tandis que les photographes étaient poussés sur l’estrade par les agents de sécurité. Clark repris sur un ton de bateleur :
- Regardez-les ! Ils sont laids, ils sont faibles, ils sont mous, et ce sont des amazones, des déesses. Regardez mes danseuses, chacune de leur cuisse est plus musclée qu’un de ces minables tout entier ! Vous voulez voir ce qu’elles vont faire de ces cons ?
OUIIIIIIII répéta la foule excitée. Louise et marie souriaient en prenant des poses au fond de l’estrade.
- Je vous préviens ils n’ont aucune chance ! reprit le chanteur ! On va commencer par Marie….Viens la Marie !
La superbe noire s’approcha de l’avant de la scène en souriant de toutes ses dents blanches et salua.
- Marie, ma tendre Marie….
Clark s’était approché d’elle et serrait gentiment dans sa main un bras dur comme de l’acier. La fille était plus grande que l’acteur dans ses cuissardes jaunes dont les talons aiguilles la mettait à plus d’1m90. La puissance que dégageait la fille rendait anachronique l’adjectif « tendre » qu’avait utilisé la vedette.
- Marie, reprit-il en se tournant vers le premier prisonnier, casses-moi ce con en deux morceaux !
La fille prit le micro :
-Avec plaisir Clark
Et le premier paparazzi fut projeté sur la scène en face de l’amazone. Si elle paraissait déjà impressionnante à coté de la vedette, pourtant bel homme, le photographe paraissait ridicule : il n’atteignait pas le mètre soixante dix et devait peser à peine soixante kilos. Le garde tendit à Marie l’appareil photo. Elle le prit et l’examina sous tous les angles.
- Alors la il y a des photos de mon patron ?
-Euh…
- Regarde petit bonhomme
Dit-elle, et elle plaça le téléobjectif entre ses deux seins, le plongeant dans sa guêpière. Les yeux du photographe arrivaient juste au niveau de sa poitrine, qu’elle approcha de son visage en se penchant légèrement en avant. Lorsqu’elle contracta ses pectoraux, on commença à entendre le craquement du plastique brisé. Cela se poursuivit jusqu’à ce qu’elle ait broyé le téléobjectif entre ses seins puissants. Tenant alors le boitier dans une main, elle le plaça devant le visage du photographe et serra. Il explosa littéralement sous la pression. Marie plongea ensuite sa main dans son décolleté pour en extraire de petits morceaux de plastique et de verre qu’elle laissa tomber au sol avec les débris du boitier. Le pauvre garçon regardait avec effroi la femme qui avait écrasé son outil de travail avec autant de facilité. Il n’eut pas le temps de réfléchir beaucoup à la puissance nécessaire pour obtenir un tel résultat car Marie le prit d’une main par le cou tandis qu’elle plaçait l’autre main entre ses jambes et elle le souleva dans un seul mouvement gracieux jusqu’au dessus de sa tête. Arrivé à plus de deux mètres cinquante de hauteur le photographe laissa échapper un cri d’angoisse, qui devint bientôt un cri de souffrance lorsque Marie se mit à rapprocher ses deux mains et à plier sa victime en deux en rapprochant sa nuque de ses fesses. Le cri s’arrêta bientôt car la respiration de l’homme fut coupée par la tension appliquée sur son thorax et l’on entendit distinctement ses vertèbres se disloquer les ligaments s’arracher et finalement les os se briser dans un long craquement. Marie n’avait pas cessé de sourire et avait réalisé cet exploit sans le moindre effort apparent. Lorsque la tête de l’homme toucha ses fesses, l’amazone repositionna ses mains et poursuivi le mouvement, faisant passer la tête déformée par un rictus de douleur de l’homme agonisant entre ses propres jambes, brisant les vertèbres cervicales, de façon à ce que l’occiput finisse par toucher la braguette de son jean. Elle tourna ensuite sa victime toujours au dessus de sa tête de façon à ce que le public put apprécier les yeux grands ouverts, et la bouche tordue dans un cri inaudible de souffrance ultime, de ce qui fut un photographe. Des filets de sang se mirent à couler doucement des commissures de sa bouche et d’une de ses narines. Après quelques instants, Marie laissa tomber le corps déformé sur le sol où il eut quelques soubresauts, puis de fines trémulations des deux jambes qui ne semblaient pas vouloir s’arrêter. Sans prêter attention à sa victime qui finissait d’agoniser à ses pieds, Marie salua le public et prit une pose « double biceps » avant de saluer encore sous les applaudissements nourris. Elle se retourna et alla se placer au fond de l’estrade d’une démarche chaloupée de mannequin, qui laissait admirer les mouvements puissants de ses fesses musclées séparées par le string jaune.
Pendant tout ce temps, Louise avait disparu. Tandis que Marie faisait une volte-face au fond de l’estrade et s’immobilisait face au public, l’asiatique remontait les marches latérales. Elle s’était changée et n’était vêtue que d’un string blanc et de chaussures de danse. Des hauts parleurs commencèrent à diffuser un morceau classique. Les musiciens semblaient pensifs. Louise ébaucha quelques pas de danse, fit quelques pointes, et s’approcha de la barre de danse. Elle l’utilisa pour faire des assouplissements, posant son pied chaussé de sa ballerine de satin sur la barre, parfois le levant en un grand écart vertical. Il émanait de tout cela une grâce et une sensualité qui ne laissait aucun doute sur les qualités de danseuse classique de Louise. Au bout de quelques minutes, alors qu’elle était de profil par rapport au public, elle lança sa jambe tendue au dessus de la barre et l’abattit puissamment, brisant net l’épaisse rampe de bois dur. Elle se tourna d’un quart de tour et salua. Clark la rejoint rapidement, un micro à la main.
- Louise ma chérie, tu es sublime !!!
La fille sourit en inclinant la tête vers son patron. Il reprit en désignant le deuxième paparazzi:
- Louise, veux tu avoir la gentillesse de lui éclater la gueule ?
Elle eut un petit rire discret et inclina légèrement la tête une nouvelle fois. Le garde qui tenait l’intrus avança avec son prisonnier et comme le premier il commença par tendre l’appareil photo à l’amazone. Celle-ci le prit, et le plaça horizontalement entre ses cuisses. Elle serra, écrasant sans le moindre effort l’appareil devant les yeux du pauvre garçon, qui avait déjà vu le massacre de son collègue comme un vulgaire spectacle de music hall. Il avait été à la fois effrayé et excité. Mais il n’avait pas le temps de s’attarder sur la complexité et le caractère paradoxal de ses sentiments dans la situation critique dans laquelle il se trouvait. Il avait vu son collègue mourir, il était encore la, les lésions infligées à son système nerveux l’agitaient toujours de spasmes dans l’indifférence générale. Louise ouvrit ses jambes et l’appareil brisé s’éparpilla à ses pieds. Elle regarda sa future victime. Ses yeux bridés semblaient froids et implacables. L’homme se sentait impuissant face à cette machine sadique. Comme avec le premier photographe, le contraste physique était saisissant. Pour l’accentuer, Louise montait sur ses pointes. Elle dépassait l’homme de trente centimètres. Se penchant vers lui, elle lui souffla « insecte, je vais t’écraser sous mon chausson » ; elle lança alors sa jambe droite dans un coup de pied retourné, écrasant de sa semelle le visage du petit homme. Sous l’impact, la mâchoire se brisa et des dents furent cassées, l’orbite fut disloqué, éjectant l’œil de la cavité sous la pression, et les os pariéto-temporaux du crane furent fracturés en plusieurs morceaux. Au total, ce coup de pied unique avait complètement défiguré la pauvre victime. Des éclaboussures de sang et peut-être d’autres fluides giclèrent. L’impact du cou projeta la tête du photographe sur le coté, lui brisant les cervicales, avant que la force d’inertie restante ne soulevât le corps pour le projeter deux mètres plus loin. Louise tint la pose, jambe tendue en l’air pendant quelques secondes, avant de reposer lentement son pied à terre dans un mouvement parfaitement contrôlé et de prendre la pose d’une danseuse devant le public, chevilles croisées, mains derrière le dos. Clark s’approcha tandis que le public applaudissait.
- Ah non ! Trop rapide ! Ca ne peut pas se finir comme ca !
Il se dirigea vers le corps immobile du pauvre photographe et se pencha au dessus de lui. Son visage déformé baignait dans une petite flaque de sang qui s’élargissait progressivement. Après une brève inspection, il se retourna vers le public :
- Il est mort ! Elle l’a tué d’un seul coup de pied ! Chers amis, applaudissez bien fort la splendide Louise ! Sous l’ovation du public, Louise s’inclina et fit un pas de coté, elle donna sa main à Clark qui la leva d’un mouvement gracieux, puis après un salut de ballerine, elle se retourna et se dirigea d’une démarche souple vers le fond de l’estrade où elle rejoignit Marie. Sans même y prêter attention, elle marcha sur l’œil arraché de sa victime et l’écrasa sous la semelle de son chausson de danse. Il y resta collé pendant un ou deux pas avant de retomber au sol, plat comme une feuille de papier.


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Offline mermoz

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Re: Superpwer story
« Reply #2 on: November 15, 2009, 05:47:16 am »
Elle arriva près de Marie et lui prit la main. Louise affichait une douceur et une grâce qui contrastait avec la violence du coup mortel qu’elle avait porté à sa victime. Les deux filles échangèrent deux ou trois mots.
Le troisième paparazzi fut monté sur l’estrade. En voyant Marie s’approcher, il essaya d’ébaucher un mouvement de recul mais il était maintenu solidement par deux gardes. Il ne quittait pas des yeux l’amazone bottée de jaune. Tout à coup il fut pris de panique et deux gardes supplémentaires furent nécessaires pour réussir à le contenir. Pendant ce temps, Marie semblait indifférente à ce remue ménage et s’était assise au bord de l’estrade, jambe pendantes. Elle faisait signe à un invité de s’approcher d’elle. Le dernier photographe, se calma un peu lorsqu’il se rendit compte qu’il n’était pas le centre de l’attention de la géante noire. La musique classique s’était arrêté et l’orchestre avait recommencé à jouer. Il enchainait des thèmes de blues célèbres.
Marie souriait à l’invité qu’elle avait choisi et tendant une de ses jambes à l’horizontale, elle lui demanda de retirer sa botte. L’homme, un brun d’environ 50 ans légèrement chauve et assez fluet fit doucement glisser le zip de la cuissarde, et la déchaussa. Marie lui demanda d’embrasser son pied. L’homme s’approcha. Le pied gainé d’une résille jaune de Marie sentait le parfum mélangé à l’odeur du cuir et cela était excitant. Il baisa doucement le pied qu’on lui présentait. Il ne pouvait s’empêcher de penser à l’effet destructeur du coup de Louise, et se demanda si le pied délicat qui était près de son visage avait lui aussi déjà détruit des vies humaines. A en juger par la musculature de la cuisse toujours tendue de Marie, cela ne faisait aucun doute. Après avoir embrassé respectueusement la jambe musclée de Marie, celle-ci lui tendit l’autre botte, qu’il retira et déposa précautionneusement près de la première. Ces cuissardes lui semblaient d’ailleurs anormalement lourdes. Il baisa selon le même rituel le second pied, qui avait toujours cette odeur enivrante. Marie se releva souplement et alla rejoindre Louise. Au passage, on lui tendit l’appareil du troisième photographe, qui recommença à s’agiter en voyant que sa présence intéressait à nouveau le public.
Au milieu de l’estrade, Marie fit signe à Louise qui vint se placer en face d’elle. Marie tendit sa jambe gauche à l’horizontale, et Louise fit de même avec sa jambe droite de façon à ce que la plante de leurs pieds vienne en contact. Les deux filles se penchèrent alors en avant en allongeant les bras pour toucher leur cheville, et tournèrent leurs visages vers le public. Marie plaça ensuite l’appareil photo entre leurs pieds. Les deux filles se rapprochèrent ensuite, levant leurs jambes presque à la verticale, l’appareil photos toujours coincé entre leurs pieds. Elles pivotèrent face au public, et commencèrent à presser sur l’appareil qu’elles écrasèrent sans effort dans un craquement plaintif. Lorsque l’appareil ne fut qu’un morceau de plastique et de verre broyé, elles séparèrent leurs plantes et se placèrent cote à cote jambes légèrement écartées, les pieds à l’équerre, les mains derrière le dos. Le photographe survivant fit une ultime tentative pour s’enfuir, mais malgré la force du désespoir, il ne parvint pas à échapper aux quatre costauds qui le gardaient. Il fut projeté à genoux devant les deux exécutrices. Il essaya de se relever en hurlant, mais il n’en n’eut pas le temps : un pied gainé de résille jaune se posa sur son épaule gauche, et un autre vêtu d’un chausson de danse se posa sur son épaule droite. Une seule des filles aurait pu le maintenir sans difficulté de sa jambe, mais elles avaient visiblement décidé de se partager leur dernière victime. Marie passa son pied sous l’épaule du garçon à genoux et le releva brusquement, retournant l’homme comme un fétu. Il se retrouvait maintenant assis par terre face au public. Il essayait de reprendre ses esprits. Il n’en n’eut pas le temps car Louise et Marie se repositionnèrent à ses cotés. Elle placèrent chacune un pied sur le coté de son visage. Il sentait sur sa joue gauche la plante chaude de Marie, avec le bas résille qui grattait sa peau, et de l’autre coté, la fine semelle de cuir du chausson de danse de louise vint écraser sa pommette.  Les deux filles se faisaient face. Elles tendirent leurs jambes ce qui fit saillir leur musculature impressionnante. L’homme ressentit la pression sur son visage. Il hurla plus de panique que de douleur. Ignorant ses supplications, elles levèrent leur jambes, d’abord à l’horizontale, entrainant leur victime dans leur mouvement. Les jambes dépassèrent l’horizontale pour finir dans une position presque verticale, les pieds au- dessus de la tête enserraient toujours le crane du petit photographe, qui ne touchait plus le sol. La pression devenait douloureuse. Il pleurait bruyamment en suppliant « non,non,non,pitié… ». Des rires et des quolibets s’élevèrent de la foule. Les deux tortionnaires entreprirent alors de broyer son crane entre leurs pieds, comme elles venaient de le faire pour l’appareil photo. Le visage de l’homme se déforma, la mâchoire fut écrasée entre les deux talons, des dents tombèrent, la bouche s’emplit de sang. Un filet de sang se mit à couler des narines du petit photographe qui n’émettait plus maintenant que des borborygmes inarticulés. Les yeux étaient poussés hors des orbites par la pression du crane qui se fracturait sous la poussée des deux amazones. L’œil droit finit par s’échapper totalement de sa prison osseuse et pendit devant le visage atrocement mutilé. Le corps suspendu en l’air de la victime était agité de soubresauts et de trémulations qui semblaient faire rire les deux filles. L’étau formé par la plante de leurs pieds se refermait inexorablement sur le crane qui se broyait doucement. Une sorte de fluide s’échappait de la calotte crânienne fracturée en de multiples endroits. Quelques débris osseux tombèrent au sol, avec des lambeaux de chair et de matière cérébrale. Tout à coup, les craquements s’arrêtèrent et la plante de Marie rencontra une surface plane qui lui résista : la semelle de cuir de la ballerine de Louise. Les deux filles avaient complètement écrasé la tête du dernier paparazzi. Marie appuya plus fort son pied contre le pied de Louise et le corps de la victime tomba à terre dans un bouillonnement de sang. Les deux amazones eurent le réflexe de replier leur jambe pour éviter d’être trop éclaboussées. Lorsque les pieds se séparèrent, quelques fils de substances organiques se formèrent entre eux, vite rompus. Les filles frappèrent leurs mains au dessus du cadavre mutilé avant de se retourner et d’aller à la rencontre de Clark qui montait sur l’estrade à leur rencontre, un micro à la main. Il les prit  chacune par une main et salua le public avec elles. Les applaudissements étaient nourris, la foule faisait une ovation aux deux tueuses.
Clark reprit son rôle d’animateur :
- On applaudit encore plus fort les deux gagnantes de ce combat !!!!!
Le public redoubla d’applaudissement et de cris. Lorsqu’il se calma un peu, Clark reprit
- les filles quelles sont vos réactions à chaud ?
Marie, la noire sculpturale répondit :
- Un homme même armé n’a aucune chance contre nous, et ceux la étaient très faibles
- Marie, reprit Clark, qu’avez-vous ressenti face à votre adversaire
- Que voulez-vous dire ? A quel moment ?
- Quand vous l’avez battu…
- Oh j’ai à peine senti une résistance quand je lui ai cassé la colonne vertébrale en deux. Après j’ai continué à le plier sans effort !!!
-On applaudit bien fort Marie, Merci ma chérie
La foule applaudit à nouveau pendant quelques instants, puis Clark reprit
- Et vous Louise, saviez vous qu’un seul coup de pied tuerait votre adversaire ?
- Je n’ai utilisé qu’une partie de ma puissance, je crois que si j’avais frappé de toute ma force j’aurais pulvérisé sa petite tête !!!
Les ovations du public reprirent.
- Eh bien bravo à toutes les deux ! Ce combat, ou plutôt ce massacre a été super !!
- OUUUUIIIIIIII hurla le parterre
Avec un ensemble parfait, les deux filles levèrent une jambe tendue à la verticale et maintinrent cette pose pendant tout le temps des applaudissements. La position mettait en valeur la musculature massive et sensuelle de leurs cuisses. Entre elles Clark les désignait alternativement d’amples gestes de la main, et saluait...
Enfin, le trio salua une dernière fois et descendit de l’estrade.
Les invités s’agglutinaient en bas pur obtenir des autographes. Le petit homme qui avait placé les cuissardes de Marie à l’abri s’approcha de la petite foule. Marie cherchait un stylo et il voulut lui offrir le sien, mais il fut bousculé et le lâcha. Le stylo Dupond en métal massif tomba près du pied de Louise. L’homme s’agenouilla pour le récupérer mais il lui fallut jouer des coudes dans la cohue. Lorsqu’il atteint le stylo, Louise fit un pas de coté et marcha dessus. Elle l’écrasa littéralement. L’homme vi distinctement le fut du stylo s’aplatir complètement sous la ballerine de Louise. Celle-ci ne semblait s’être aperçue de rien et riait avec un invité en sirotant une coupe de champagne. Elle gardait toujours un œil sur son patron. Quand celui-ci chercha à s’extirper du groupe de fans, elle le suivit. L’homme toujours accroupi auquel personne n’avait prêté attention récupéra alors son bien. La partie qui était passé sous la semelle de Louise était complètement plate et réduite à quelques millimètres d’épaisseur. Il ne s’agissait pas seulement d’un petit cylindre de métal. Le solide mécanisme rotatif permettant de rentrer ou de sortir la mine avait été broyé et écrasé. L’homme calcula mentalement quel devait être le poids de la fille pour pouvoir réduire ainsi un stylo de luxe en miettes, même si l’on tenait compte de sa musculature, cela paraissait inhumain. Il rangea son Dupont écrasé, et décida de la suivre.
Clark avait jeté son dévolu sur une jeune fille qui avait à peine dix huit ans ; et qui était déjà bien alcoolisée. La jeune fille se serrait contre lui et lui caressait le torse, et il se laissait faire en prenant des poses blasées. Il entraina la jeune fille vers l’intérieur de la maison. Les deux gardes du corps emboîtaient le pas au couple. Si Koroviev avait vu son invité à ce moment la, il aurait sans aucun doute donné des ordres afin qu’il se sente comme chez lui. Mais malheureuse ment, au même instant, Koroviev était lui-même occupé avec une sirène de la piscine dont il tâtait les muscles fermes.
Le petit groupe monta à l’étage de la somptueuse demeure à la recherche d’une chambre libre, mais toutes les portes du palier étaient fermées à clé. A la troisième, Louise, qui s’était rapprochée de son patron se plaça entre lui et la porte.
- Attendez, je vais ouvrir.
Elle leva sa jambe à l’horizontale, et tendit son pied à la jeune fille en lui souriant :
-Mademoiselle, si vous voulez bien sortir votre clé de son étui…
La fille la regarda un instant sans comprendre, puis elle regarda le pied qui était devant elle, et défit le ruban de soie noué autour de la cheville de Louise. Elle retira ensuite le chausson de danse et le tint respectueusement dans ses deux mains. Louise posa alors délicatement ses orteils juste au dessus de la serrure de la porte et regarda son patron et sa conquête. Puis elle tendit le pied. La porte ne résista pas, on entendit le bois craquer et la serrure tomber de l’autre coté. La porte tourna sur ses gonds. Un instant Louise maintint la position, pied tendu, jambe parfaitement parallèle au sol. Clark se pencha et embrassa le pied de son employée, puis il  prit le chausson des mains de la jeune fille et le laissa tomber à terre en entrant dans la chambre. Marie suivit le couple. Louise se pencha et ôta le deuxième chausson de danse. Elle se posta devant la porte ouvert, jambes écartées, bras croisés.
Le petit homme brun était parvenu sans bruit en haut de l’escalier. Il regardait le palier. Il vit trainer les deux ballerines, mais dès qu’il essaya de s’aventurer dans le couloir, il entrevit Louise qui montait la garde, et il recula très vite. De sa cachette, en haut des marches, il pouvait  entendre ce qui se passait dans la chambre. La fille qui était montée avec Clark gémissait de plaisir. On entendait également une autre voix féminine. Tantôt Clark riait ou parlait, et tantôt il soupirait.  Au bout d’une quinzaine de minutes, le petit homme l’entendit distinctement appeler Louise. Celle-ci entra dans la chambre en fermant la porte derrière elle. Le petit homme entendit encore
- Fais en sorte qu’on ne nous dérange pas.
Puis, il entendit le brut d’un meuble que l’on déplace.
Dans la chambre, marie tenait la jeune fille par le haut des cuisses, le dos contre elle et l’empalait rythmiquement sur Clark qui était debout mains sur les hanches.
- On t’a jamais baisée comme ça, salope !
Le petit homme après s’être assuré qu’il était seul se risqua sur le palier et dans le couloir. Il ramassa les deux ballerines de Louise et redescendit rapidement. Il s’éloigna de la foule des invités, après avoir récupéré les cuissardes de Marie qu’il avait cachées derrière un décor dans un coin peu éclairé. A distance de la fête il s’autorisa à contempler ses trophées. L’emprunte des pieds de Louise était encore visible à l’intérieur des ballerines. La semelle de cuir était maculée de taches dont l’une, plus étendue que les autres devait correspondre aux fluides de l’œil sur lequel elle avait marché, imagina t’il. Il remarqua aussi des gouttelettes de sang séché sur le satin des chaussons de danse.
Au bout d’une demi-heure, le petit homme vit Clark et ses deux gardes du corps redescendre, toujours accompagnés de la jeune fille, qui semblait avoir quelques difficultés à marcher. Ils la laissèrent et s’ensevelirent à nouveau dans la masse de s invités. Ils restèrent environ 5 minutes puis se dirigèrent vers la limousine de Clark qui s’était avancée. Le manège n’avait pas échappé au petit homme chauve qui se posta discrètement aux premières loges pour voir partir Clark et les deux amazones.
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Histoires de FBB's / FBB Stories «en FRANÇAIS / in FRENCH»
« Reply #3 on: November 08, 2010, 12:00:12 pm »
Muscles
par/by crushee
_________________________________

A muscled body description. Enjoy...

Description corps :   
Ses muscles sont toujours fermes et toniques. Ils sont parfaitement dessinés, leurs faisceaux nettement séparés, sans sécheresse excessive toutefois.
Au dessus d’une cheville équilibrée, que des années de sports sur glace dans son enfance ont considérablement endurcie sans en altérer la flexibilité, et d’une voute plantaire superbement arquée et forte s’élève une jambe particulièrement puissante, où les deux muscles jumeaux, descendant assez bas, se gonflent prodigieusement lors des ¾ de pointe qu’elle pratique sur un seul pied sans difficulté par séries répétées de 50 voire de 100 pour les deux ou trois premières, tenant à la main, pour son équilibre, une haltère de 30 ou de 40 kg, parfois de 70 kg, son poids de corps ; le jumeau externe est à peine plus court que l’interne. Sous ces deux puissants élévateurs, la masse plate du soléaire est particulièrement large et épaisse, fruit d’années de pratique intensive du vélo et notamment du cyclo-cross ; elle déborde significativement à l’intérieur, descendant bien plus bas que les jumeaux et contribuant ainsi à la forme caractéristique en losange de ses mollets, mais aussi à l’extérieur, où à pleine contraction elle forme un long bourrelet saillant en avant du mollet, depuis le jarret jusque bien en dessous du jumeau externe, lui-même toujours notablement long même à sa contraction maximale.
Les cuisses sont deux fortes colonnes de muscles, gages d’une puissance phénoménale, d’une résistance extrême et d’une endurance exceptionnelle, trois qualités confirmées avec douleur par la totalité de ses adversaires de lutte, sans aucune exception. Sur la face antérieure, le quadriceps est particulièrement bien dessiné, avec le vaste interne en forme de goutte géante qui descend très bas, pratiquement jusqu’au bas de la rotule, le vaste externe, descendant presque aussi bas (configuration remarquable résultant d’une génétique naturellement favorable et d’années de travail en extensions en extrémité de banc avec des charges très lourdes), vaste externe dont le volume et le galbe latéral imposants expliquent les performances remarquables au squat, et enfin le droit antérieur, puissant et particulièrement saillant sur les deux tiers supérieurs de la cuisse, dont la vue de profil est impressionnante ; elle est souvent parvenue à faire jouir plusieurs fois de suite une partenaire installée à califourchon sur une de ses cuisses par des extensions répétées de la jambe, contractant intensément son quadriceps, massant ainsi puissamment l’intérieur de ses cuisses et insistant, par des montées du genou très légères, mais inlassablement répétées, sur la contraction de son droit antérieur pressant ainsi fortement sa vulve. Elle est également capable, assise sur une table haute, de faire se positionner une partenaire à cheval sur le cou d’un de ses pieds et de pratiquer au moins une centaine d’extensions de chaque jambe, amenant là encore plusieurs fois de suite sa partenaire à l’orgasme. Elle pratique d’ailleurs parfois dans cette position, des concours d’orgasmes féminins en prenant deux partenaires, chacune assise sur l’un de ses cous de pied.
La vue de profil permet d’apprécier également le bombé du biceps crural, nettement visible même quand la jambe est totalement tendue, et qui devient phénoménal à mesure que le muscle se raccourcit lors de la flexion ; elle permet également d’apprécier la saillie des fessiers qui chacun, lorsqu’une jambe est élevée vers l’arrière, forment une boule comparable à un ballon de hand, dureté incluse ! Sur la moitié supérieure des cuisses, à leur face interne, les adducteurs sont nettement visibles, volumineux, puissants, mais très souples également puisqu’ils autorisent des écarts extrêmes (elle atteint bien évidemment le grand-écart) … ou des contractions extrêmes, elle est par exemple couramment capable, en position assise, de s’amener au moins deux fois de suite, à quelques minutes seulement d’intervalle,  à l’orgasme par des contractions rythmiques de ses adducteurs.

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Re: Muscles
« Reply #4 on: November 09, 2010, 09:04:06 am »
Son tronc est de forme évasée, étroit à la taille, avec les abdominaux très nettement dessinés , chacun d’eux bombé et saillant, la ligne blanche centrale parfaitement rectiligne et visible compte-tenu de sa largeur et surtout de sa profondeur de près de deux  centimètres, les abdominaux supérieurs en forme de trapèze, épousant le contour des côtes ; on dénombre huit muscles et non six : elle entretient en effet un développement particulièrement puissant de ses abdominaux inférieurs, très nettement visibles, bombés et séparés pratiquement jusqu’au pubis,  particulièrement sollicités lors des basculements du bassin, mouvements dont l’unanimité de ses partenaires des deux sexes a toujours loué la puissance, l’amplitude, le rythme et l’endurance hors norme…  en particulier ceux qu’elle travaillait durement et inlassablement au gode-ceinture. Au dessus, la cage thoracique s’évase, recouverte dans sa partie supérieure par les pectoraux puissants, uniformément épais de plusieurs centimètres, de forme carrée, se rejoignant presque sur le sternum et y créant à pleine contraction un sillon étroit et profond de presque trois centimètres, descendant jusqu’en dessous de ses seins ronds et amples, aux tétons toujours très rigides. A leur extrémité externe, ils se mêlent aux deltoïdes pour créer une forte amorce des bras. Cette puissance est d’ailleurs confirmée par la pratique : tous ses adversaires en lutte libre, males comme femelles, sans aucune exception, ont eu plusieurs côtes brisées, souvent en de multiples endroits, lorsqu’elle leur appliquait un bear-hug. De dos, cette force visible est confirmée par des dorsaux volumineux qui cheminent de part et d’autre de sa colonne vertébrale en en masquant pratiquement les apophyses, par les trapèzes, les muscles du cou et encore une fois les deltoïdes, superbes de rondeur tant latéralement que vers l’avant ou l’arrière.
Chapeautés par ces deltoïdes impressionnants dont les différents faisceaux sont nettement dessinés, ses bras sont à l’unisson en matière de volume et de définition. Le biceps, muscle-roi du bras, est saisissant tant par sa largeur que par sa longueur : uniformément cylindrique lorsque le bras n’est pas fléchi, il descend très bas vers la saignée du coude, et sa largeur ne diminue nullement jusqu’à son apophyse distale double particulièrement ramassée ; à mi-flexion, les rotations de pronation-supination de l’avant-bras sont spectaculaires dans leurs effets sur l’extrémité inférieure du biceps et sur son contour : pendant que le renflement de la tête du muscle remonte de plusieurs centimètres avec la pronation, la forme du muscle évolue très sensiblement du cylindre vers la sphère. Il n’atteint toutefois cette parfaite forme de boule, de la taille d’un pamplemousse, qu’à la contraction maximale, le coude levé au dessus de l’épaule, le poignet derrière la nuque. Lorsque, coudes au corps, elle fléchit complètement les bras, les deux biceps sont pratiquement aussi gros que ses seins.
La sécheresse de sa peau, sans être excessive bien entendu, permet toutefois de distinguer très nettement les deux faisceaux du biceps, chacun ayant une tête caractérisée. Dans toutes ses flexions, ce muscle est accompagné par un brachial-antérieur large et très épais, dont la saillie à l’extérieur en flexion totale du bras est impressionnante ; en extension, il « soulève » carrément le biceps et lui donne, vu de profil, un gonflement significatif au dessus du coude. Last, but not least, le triceps est superbement dessiné en fer à cheval, avec le faisceau externe très saillant et bombé et le faisceau interne massif, très épais et extrêmement long, descendant presque jusqu’au coude en extension ; à pleine contraction, il saillit notablement des deux côtés du bras, interne comme externe, et cette double saillie est parfaitement visible de devant, malgré le volume impressionnant du biceps.

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Re: Muscles
« Reply #5 on: November 10, 2010, 07:31:09 am »
(...)
L’avant bras est pratiquement aussi gros que le bras, et notablement renflé à mi- longueur. Il est fréquent qu’elle broie douloureusement les métacarpiens des personnes à qui elle serre la main, allant jusqu’à provoquer de petites fractures des apophyses. Au bras de fer, lutte dont elle sort toujours vainqueur, elle force souvent la rotation de son bras, gonflant le biceps à son maximum, jusqu’à luxation complète et en général non ou difficilement réductible du poignet de l’adversaire ;  parfois, la brutalité et la puissance de son mouvement lui permettent de fracturer l’avant-bras de son adversaire, fracture nettement audible en général, qu’elle fait cyniquement suivre de plusieurs mouvements de torsion amples pour l’ouvrir et en rendre infiniment plus délicate la réduction. Chaque muscle de son avant-bras est nettement défini, et leur jeu ainsi que leur tension lors des mouvements du poignet ont été qualifiés de fascinants par la plupart de ses amies. 
Elle était capable de broyer une pomme verte ou une patate crue dans une main, de faire éclater une noix d’une seule main ; elle arrivait aussi, à deux doigts, à faire éclater des noyaux de pêches… Lorsqu’elle décidait de broyer les testicules d’un soumis, il n’avait aucune chance de conserver sa virilité…

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Re: Muscles
« Reply #6 on: November 11, 2010, 11:25:11 am »
(...)

Performances :   Bras :   curls barre chargée au poids du corps (70 kg) : huit à dix séries de 20 à la suite, en alternant prises en pronation et en supination, prises rapprochée et écartée, prises symétrique ou inversées, la montée est rapide, presque explosive, la position tenue trois secondes en haut à contraction maximale, la descente complète, toujours très lente, avec arrêt et petite oscillation à mi-course ;
            curls barre chargée à la moitié du poids du corps (35 kg), mains en pronation : est capable de 500 flexions de suite, sur un rythme très  rapide ;
            curls d’un seul bras : maximum de 40 kg : quatre flexions complètes consécutives, tenues cinq secondes en haut (trente secondes pour la dernière), coude totalement détendu en bas ; 30 kg : deux fois dix flexions rapides pour chaque bras ; 25 kg : plusieurs séries de 50, alternativement rapides et lentes ; s’entraine régulièrement pour arriver à un curl d’un bras au poids du corps (70 kg) : elle n’atteint pas encore l’angle droit… les entraînements comprennent soit des tentatives répétées de curl avec maintien aussi long que possible de la position maximale atteinte, soit entrainement en « charges négatives », partant de la contraction complète (atteinte par une aide extérieure) et en retenant au maximum la charge en descendant ;            curls caressants : un bras fléchi à 90°,une partenaire se place à califourchon sur son  avant-bras auquel elle imprime un mouvement de rotation  alternatif pronation-supination, le mouvement incessant du radius, du cubitus et des muscles de son avant-bras contre sa culotte et son intimité l’amène en quelques minutes à la jouissance ; elle souhaiterait qu’elle se place au plus près de son coude pour diminuer l’effet de levier et donc la terrible tension qui déchire son biceps, elle exige au contraire de se placer assez loin du coude, pratiquement au poignet, là où l’amplitude de la rotation est plus sensible ; elle se place en général face à elle, pour pouvoir d’une part admirer son biceps en pleine congestion, d’autre part torturer ses tétons avec une violence terrible au moment de Son orgasme ;


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Re: Muscles
« Reply #7 on: November 16, 2010, 08:13:02 am »
(...)

tractions amplitude maximale, jambes tendues serrées à l’équerre ou écartées au niveau du visage, prises de mains variées (écartées, serrées, croisées ; en pronation, en supination ou mixte), coude complètement détendu en bas, montée rapide (contraction quasiment « explosive » des biceps) mais sans le moindre balancement du corps à son début, barre au niveau des clavicules lorsque les mains sont en pronation, au niveau des tétons (ce qui implique un travail de force particulièrement intense pour les pectoraux et les dorsaux) lorsqu’elles sont écartées en supination, tenue trois secondes (dix secondes pour la dernière), descente très ralentie (cinq à dix secondes) avec arrêt et double oscillation lente et nettement visible à mi-parcours : une série de cinquante  puis trois à quatre de vingt ;
            en position de tractions à la barre fixe, les mains écartées en pronation, amène les tétons contre la barre puis, par de petites mais puissantes rotations de l’épaule, les fait frotter contre celle-ci jusqu’à l’orgasme); est capable, après une abstinence d’une semaine, de jouir deux fois de suite de cette façon.

tractions « lestées » (ceinture ou sac à dos chargé à 90 kg ou partenaire accrochée à la taille) : quinze de suite ;
            tractions « dorsales » : à la barre fixe, mains écartées, en pronation, rejette les bras en arrière au début de la montée et passe la tête devant la barre, en venant la toucher avec le haut des omoplates (un simple toucher de la nuque n’étant pas admis) : trois séries de quinze ;
            tractions « basculées » : à la barre, tractions en pronation depuis une extension totale, sans le moindre élan, avec dès le quart du mouvement un basculement des jambes tendues et du tronc vers l’avant et le haut pour finir les jambes à la verticale au dessus de la barre : cinq séries de vingt ; il est courant qu’elle jouisse spontanément au cours de ce mouvement.

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Re: Muscles
« Reply #8 on: November 18, 2010, 08:14:00 am »
(...)

tractions d’un bras en supination (avec extension totale du coude en bas, contact du poignet et du téton en haut),  vingt, puis dix, puis deux fois cinq sur chaque bras, les deux dernières de chaque série étant effectuées à l’extrême ralenti (montée en dix secondes, descente en vingt) mais sans interruption et menées jusqu’à leur terme ;
            tractions d’un bras en pronation : trois fois dix sur chaque bras, cinq fois sur chaque si elle change de bras après chaque série…
            tractions à une poutre, les mains en pronation, les dernières phalanges des doigts seulement sur la face supérieure de la poutre, mouvement effectué très lentement, sans à-coup (montée en dix secondes, descente en vingt secondes) : plusieurs séries de douze ;
            demi-tractions : l’angle du coude varie de 135° à 45°, en pronation, écartement des mains égal à celui des épaules, dix à quinze minutes sans s’arrêter ;
            grimper de corde bras seuls, jambes tendues écartées à la hauteur du visage : quatre hauteurs de huit mètres de suite (descentes lentes, toujours bras seuls et jambes toujours tendues), le départ de chaque hauteur se faisant bras totalement tendu, d’une seule main, après une immobilité de dix secondes ;
            grimper de cordes bras et jambes, lesté (partenaire accrochée dans le dos, ou sac à dos chargé à son propre poids) : cinq montées et descentes de suite (hauteurs standard de huit mètres) ;
            grimper de corde bras et jambes ininterrompu : plus de cinq minutes sans interruption (20 à 25 hauteurs de 8m.) ;
            grimper de corde aux JMP (Journées Musclées Parisiennes, organisées chaque année en juin avec une épreuve de grimper jusqu’au premier étage de la Tour-Eiffel, 50m) : elle peut accomplir deux grimpers successifs, le premier bras seuls pratiquement jusqu’à l’étage (elle a été mesurée à 41m en 2009) ;
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Re: Muscles
« Reply #9 on: November 25, 2010, 08:26:53 am »
(...)

pompes académiques, descente lente (cinq secondes minimum) et complète, arrêt en bas avec mouvement avant-arrière sur les pointes de pied provoquant une rotation étendue de l’épaule, puis remontée rapide (contraction explosive) : minimum de trois séries de 200 ;
            pompes rapides : 500 en moins de dix minutes ;
            pompes chargées (partenaire de poids équivalent assise sur le haut du dos) : trois séries de vingt ; même exercice avec deux partenaires assises l’une sur ses épaules, l’autre sur les reins qu’il conserve parfaitement rectilignes : dix de suite ;
            pompes avec saut en fin de remontée et double claquement des mains avant de redescendre : trois séries de quinze de suite ;
            pompes sur un bras avec flexion complète du coude en bas, l’épaule arrivant pratiquement au contact de la main : deux fois vingt et une fois dix sur chaque bras ;
            pompes mains en pronation, le poids portant sur la jointure des premières phalanges, le poignet rectiligne : vingt-cinq de suite ;
            dips aux barres parallèles, avec flexion totale du coude en bas : quatre ou cinq séries de 40, les jambes tendues jointes au niveau du visage pour la première série, à l’horizontale pour les deux suivantes ;
            dips « chargés » (ceinture lestée à 50 kg ou partenaire accrochée à la taille) : vingt puis dix puis cinq,

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Re: Muscles
« Reply #10 on: November 30, 2010, 05:30:32 am »
(...)

tractions-rétablissements aux anneaux : trois séries de dix, descente en passant par la position de la croix tenue trois secondes pour la dernière de chaque série ;
            tractions-rétablissements à la barre fixe avec sac lesté à 50 kg ou partenaire accrochée dans le dos : cinq complets suivis d’au moins cinq tractions complètes amenant les épaules largement plus hautes que le niveau de la barre (les tétons touchant la barre).

Cuisses :   squats chargés au poids du corps (70kg), positions des pieds variées, descente lente et profonde menant les fesses sur les talons, remontée très rapide avec décollement du talon en haut : huit à dix séries de 50 ;

               squats sur une jambe, l’autre tendue nettement au dessus de l’horizontale, bras écartés sans support : quatre séries de vingt alternées ;

                  squats avec deux partenaires assises l’une sur les épaules, l’autre sur le dos, jambes écartées, pieds à plat sur le sol, cuisses descendant plus bas que l’horizontale : dix puis deux fois cinq ;

               squats rapides non chargés, pieds écartés sur cales : minimum de 500 en moins de huit minutes (rythme d’un par seconde);

               montées d’escalier en courant, deux marches par deux marches, un sac à dos chargé à 30kg : cinq séries de quatre étages ;

               montées d’escalier à cloche pied : quatre étages (vingt cinq marches chacun) en changeant de jambe à chaque étage;

               à l’espalier, cuisses plus hautes que l’horizontale, les pieds chaussés de chaussures de montagne ou lestés, extension lentes des jambes à la hauteur du visage, minimum de 300 ;

               extensions caressantes : debout contre un espalier, se retenant par les mains à la hauteur de la tête, bras fléchis à angle droit, elle lève une cuisse à l’horizontale et une partenaire vient s’installer à califourchon dessus ; elle entreprend alors des extensions de la jambe, contractant puissamment son quadriceps et en particulier le droit antérieur, ce qui rapidement provoque chez sa partenaire une excitation qu’elle amplifie en serrant de toutes ses forces ses deux cuisses autour de la sienne, ce qui la mènera infailliblement à l’orgasme, d’autant plus rapidement que la vue de ses volumineux biceps,  contractés par l’effort pour se maintenir debout, l’excite tout particulièrement ;

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Offline crushee

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Re: Muscles
« Reply #11 on: December 01, 2010, 05:12:03 pm »
Merci également,

(...)

Mollets :   élévations sur un bord de marche, d’amplitude totale tant en montée (cou de pied dans le prolongement de la jambe) qu’en descente (talon plus bas que la marche et poids du corps supporté par les orteils recroquevillés), avec rythme et orientation du pied variables : dix séries de 100 ;
               élévations « lestées » (une partenaire sur les épaules ou un sac à dos de 50kg), plusieurs séries de 30 ; avec une barre de 100 kg sur les épaules : dix élévations complètes de suite ;
               élévations sur un seul pied : séries de 50, alternativement très rapides ou très lentes, pratiquement sans limite.


         Abdominaux :   crunches classiques, mains au cou ; cinq séries de 200,
                  crunches avec pivotement, le coude touchant le genou opposé : plusieurs séries de 100 ;
                  à l’espalier, relevé des genoux jusqu’à la poitrine : plusieurs séries de 100 ;
                  à l’espalier, relevé des jambes jointes et parfaitement tendues jusqu’à ce que les pieds touchent le mur au dessus de la tête, maintien de la position deux secondes, descente lente : huit séries de 10 ; elle est également capable, lorsque ses pieds touchent le mur au dessus de sa tête de dessiner à la suite sur le mur les chiffres de 0 à 9, sans décoller les pieds du mur ;
                  à l’espalier, accroché bras écartés, jambes jointes tendues à hauteur de la poitrine, pivotements latéraux jusqu’à toucher l’espalier avec les pieds d’un côté puis de l’autre, au niveau des mains : plusieurs séries de 50 ;
                  à l’espalier, cuisses à l’horizontale, supporte pendant plusieurs minutes une partenaire (puissante, musclée et… lourde : 70kg) sur ses cuisses tout en tendant et fléchissant lentement les genoux (plus de cent extensions) ;
                  au sol, en appui sur les coudes, jambes tendues à l’équerre, lents et amples ciseaux latéraux : séries de 50, pratiquement sans limite ;
                  allongée au sol, des chaussures lestées à 10 kg chacune aux pieds, dessine successivement avec les pieds joints les lettres de l’alphabet : record de cinq alphabets successifs (majuscules puis minuscules à chaque fois) ;
                  allongée au sol, pédalages de grande amplitude avec chaussures lestées : plusieurs séries de dix minutes ;
                  allongée sur un banc, les bras tenant l’extrémité du banc derrière la tête, les jambes tendues à la verticale, est capable de soulever le bassin de plus de 30cm, 50 fois de suite, ou plus de cinq minutes sans discontinuer ;
                  suspendue à la barre fixe, « crunches inversés », bras fléchis à 45°, jambes jointes légèrement fléchies, amener les pieds à la barre : séries de 20, en nombre pratiquement illimité ;
                  assise au sol, jambes tendues, s’élève sur les bras en conservant les jambes légèrement au dessus de l’horizontale (les dernières phalanges des doigts touchant seules le sol, les fesses à environ 20cm du sol pour les trois premières séries), puis en basculant le bassin vers l’avant,  monte lentement les jambes toujours jointes et tendues à la position verticale, tenue cinq secondes, redescend ensuite lentement et recommence sans poser les jambes, plusieurs séries de 20.


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Offline crushee

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Re: Muscles
« Reply #12 on: December 03, 2010, 08:13:56 am »
(...)

Dorsaux-fessiers :   allongée à plat ventre au sol, lever alternatif de chaque jambe, totalement tendue, le pied lesté à 10 kg, à un angle de plus de 60° : séries de 100 pour chaque jambe ;
                  à plat ventre sur le sol, lève simultanément le plus haut possible les fesses, cuisses et jambes tendues d’une part, le torse et les bras tendus d’autre part : est capable de plusieurs centaines de répétitions ;
                  à plat ventre sur un banc, les mains tenant fermement les pieds du banc, les jambes dans le vide, ciseaux horizontaux ou verticaux : séries de 200 ;
                  la poitrine sur le banc, les mains en tenant les pieds, lever de la zone lombaire et contraction maximale des dorsaux et des fessiers pour amener les cuisses (et les jambes) tendues et jointes à la verticale, position tenue dix secondes, descente lente : 5 fois ;
                  allongée sur le dos, une partenaire assise sur le ventre, est capable d’arquer son corps en ne s’appuyant que sur les talons et les épaules, et d’élever le bassin d’une trentaine de centimètres, puis de se dresser d’abord sur les coudes et enfin d’étendre lentement les bras vers l’arrière pour former un véritable pont, avec tenue de la position plusieurs minutes et au moins cinq répétitions au cours d’une session.   


to be continued...
________________________________________

K+ donné

I KNEW I should have studied harder in French class.  Zut alors!

If you install Google toolbar it has a translate button that, though not perfect, does a decent job of translating most foreign languages.  I have been able to read some good German, Italian, Spanish, and French female muscle fiction with it.

Thank you, Mr. Patula and the Gov, for your comments! Thank you for your advice, Sinclair!

I still have to write what happens after... maybe a session ?
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terminosaurus

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Histoires de FBB's / FBB Stories «en FRANÇAIS / in FRENCH»
« Reply #13 on: February 25, 2011, 12:53:57 pm »
Marie Ber
by/Par terminosaurus
____________________________

Mon histoire commence un lundi d’automne 1967, j’étais âgé de 15 ans et demi et  j’allais pour la première fois à mon lycée professionnel  qui se trouvait dans la ville principale du département alors que j’habitais un petit village qui en était situé à  40 km de là. Je suivais des cours de comptabilité et je devais faire le trajet tous les jours en car.
Tout était nouveau pour moi, et je passais mon temps dans ce premier voyage à regarder le paysage qui défilait et à détailler les gens qui montaient et descendaient dans le car à chaque arrêt. Et c’est à mi-chemin que je l’a vis monter dans le car. Elle devait avoir à peu près mon âge, mais quelle était belle, avec un visage superbe et une tenue excitante, une mini-jupe sur des bas noirs avec de très jolis motifs. Ses jambes étaient splendides galbées et musclées à souhait, mais pas trop et l’on pouvait leur  en imaginer une certaine force pour une fille. Elle portait aussi un pull over très moulant qui lui faisait ressortir une volumineuse et ferme poitrine.

Elle était brune et pas très grande, vu de la place ou je me trouvais, je dirais ma taille 1m58. Cette petite taille faisait ressortir sa jolie poitrine que j’estimais à un bon 95  bonnet C.  Je l’a vis s’asseoir sur un siège de l’aller central à coté d’une n’autre fille du même âge. Apparemment elles devaient se connaître et devaient faire le voyage ensemble régulièrement.

En quelques secondes j’étais tombé amoureux de cette splendide créature, et de la place ou je me trouvais, j’avais la vu sur ses cuisses que je devinais fermes et douces, et pendant tout le restant du voyage je ne pu quitter du regard ses jambes, tant ses cuisses que ses mollets qui étaient aussi bien ronds et musclés.

J’attendais avec impatience d’arrivée, car je descendais au terminus « la gare routière » et j’avais espoir qu’elle y descendait aussi pour être en sa présence et peut-être entamer la conversation. Que ne fut je pas déçu de la voir descendre avec sa copine 5 stations plus tôt. Je l’a suivi du regard tout en étant très malheureux.

J’avais hâte d’être au soir dans le car pour le voyage  retour avec l’espoir de la revoir, malheureusement, je ne la vis pas monter dans le car, ni sa copine d’ailleurs.

Je passai une nuit blanche à penser à elle  très excité à l’idée de la revoir monter dans le car le lendemain.

Donc le lendemain je regardais très énervé les stations défilées, et vis monter sa copine à la station d’avant. J’étais de plus en plus fébrile à l’approche de sa station et je fus énormément déçu de ne pas la voir monter ce jour là, ainsi que les jours suivants.

Donc les jours qui suivirent je m’étais dit qu’elle n’avait pris le car qu’exceptionnellement, et que ma première histoire d’amour était terminée avant d’avoir commencé.

Le lundi de la semaine suivante je faisais le voyage assez triste à mon lycée avec ma déception sentimentale lorsqu’a l’approche de la station ou je l’avais vu monter une semaine plus tôt, je la distinguais de loin et mon cœur se mit à battre la chamade et mes jambes tremblées. Elle était là, elle avait peut-être été malade le restant de la semaine passée, ce qui pouvait expliquer son absence. Elle monta à nouveau dans le car et s’assis de nouveau à coté de sa copine. Elle était encore dans une tenue qui faisait autant ressortir ses jambes (encore en mini-jupe) que sa formidable poitrine, (un petit chemisier serré et légèrement ouvert). J’étais de plus en plus fou amoureux, et continuais le restant du voyage comme la première fois à regarder ses jambes sa poitrine et son joli minois qui me mettaient dans un état plus que vigoureux et très serré dans mon pantalon.

Comme la première fois elle descendit avec sa copine quelques stations avant moi, et j’étais triste de la voir partir. J’attendais le lendemain avec impatience, je faisais le voyage maintenant en compagnie de garçon de mon âge qui suivait lui aussi des cours mais dans un  autre lycée que le mien et pour une autre formation, mais dans la même ville. Nous parlions de tout et de rien, mais dès qu’arrivait la station ma jolie fille montait, je n’arrivais plus à suivre sa conversation pendant l’approche de sa station. Et encore une fois je fus déçu, elle n’était pas là.

Cela se reproduisit pendant plusieurs semaines avant que je comprenne qu’elle ne prenait le car que le lundi, et cela tous les lundis, j’étais plus qu’énervé ce jour là à l’idée de la voir, mais aussi très désabusé et triste de ne pas pouvoir entamer une conversation avec elle. Elle s’asseyait toujours à coté de sa copine quelques siège devant les places que nous occupions avec mon nouveau compagnon de voyage.

Il se passa bien deux mois avant qu’une chose extraordinaire arriva. Elle était montée comme d’habitude et assise à coté de sa copine pendant quelques minutes, puis toutes les deux se sont levées et dirigé vers nous pour s’asseoir sur la banquette libre qui se trouvait juste devant la notre. Je pouvais voir ses jambes alors de plus près et j’en étais à moins d’un mètre. Bon dieu qu’elles étaient belles, musclées et comme elle ne portait pas de bas mais des chaussettes blanches d’écolières, je vis bien que sa peau était  lice et d’une douceur exceptionnelle, je m’imaginai entre ses cuisses fermes, puissantes et douces à lui faire l’amour. J’en rêvais tout éveillé de ce fantasme.

J’avais envie de lui parler mais je n’osais pas et je ne savais pas comment entamer la conversation. Il se passa quelques minutes comme cela, lorsqu’elle se retourna, me regarda droit dans les yeux, me sourit et me dit tout en me tendant la  main, je m’appelle Mariber. Je lui retournais son sourire et tendis ma main  pour  serrer la sienne et me présentais « je suis Didier ». Je senti sa petite main prendre la mienne et là je failli crier tellement sa poigne était puissante, je serrai les dents en continuant à sourire pour ne rien laisser paraître, mais autant cette fille était belle autant la force qu’elle dégageait n’était pas qu’une illusion. Je lui demandais d’où venait son prénom « Mariber » et me répondit que c’était l’abréviation de Marie Bernarde, prénom qu’elle  n’aimait pas et qu’elle avait transformé en Marie Ber. Il est vrai que Bernarde pour  une fille ce n’est pas très joli.

Nous fîmes la fin du voyage en échangeant nos renseignements. J’appris qu’elle n’avait pas 16 ans comme je me l’imaginais, mais 12 ans. Je n’en revenais pas, autant son corps et son visage donnaient à penser qu’elle avait au moins mon âge, 16 ans. J’étais quand même toujours amoureux, même si c’était une enfant d’âge, mais surement pas à regarder, son physique était celui d’une femme. J’appris donc qu’elle suivant des cours de secrétariat en pensionnat, et  qu’elle prenait le car le lundi matin, et le reprenait seulement le vendredi soir pour rentrer chez elle, mais une heure plus tard que  moi. Je décidais de prendre mon car le vendredi soir, au même horaire qu’elle  pour être en sa présence, même si cela me faisait rentrer plus tard.

Donc pendant quelques semaines nous faisions le voyage ensemble le lundi matin et le vendredi soir. Elle avait décidé aussi de descendre le lundi matin à ma station car elle avait encore beaucoup de temps avant son premier cours  ce jour là et avait le temps de faire le trajet à pied, se qui nous permettait de parler et jouer ensemble quelques minutes supplémentaires.

J’aimais la chahuter, car je la sentais forte. Je faisais 1m58 pour 48kg, donc pas un gros gabarit, mais j’étais très fort quand même. Dans toutes les écoles et classes que j’avais fait, j’étais un des garçons les plus forts. Il fallait vraiment des garçons de 85/90kg et d’une grande force pour me battre.

J’avais donc envie de jouer et catcher avec elle, ou je devinais une bonne résistance, mais je me faisais pas de souci, de l’issu du combat, je serrai le plus fort. Elle était de la même taille que moi 1m58, mais un peu plus lourdes 56 kg, sans un gramme de graisse, comme déjà dit des jambes musclées et apparemment fortes ainsi que des bras aussi assez musclés, et je fut surpris qu’elle me dise qu’elle ne pratiquait aucun sport, se qui était étonnant lorsque l’on voyait son corps.
Un lundi matin pluvieux, ou nous descendions à la gare routière, pour la retenir un peu plus que d’habitude, j’ai voulu lui prendre son mini-parapluie. J’attrapais son parapluie pour lui arracher des mains, mais elle ne le lâcha pas et commença à le tourner dans l’autre sens que j’essayais d’imprimer pour me faire lâcher, se senti beaucoup de force dans son geste et m’aperçu que les baleines du parapluie se tordaient. Pour ne pas lui casser, je relâchais un peu mon ma prise, se qui m’entraina à me retrouver avec le bras dans le dos. La vitesse et la force qu’elle avait mis m’avait empêché d’ouvrir la main, et me retrouvais avec le bras dans le dos, battu par une fille de 12 ans devant plein de personnes qui se trouvaient dans la gare à ce moment là.  Je me sentais ridicule, mais cette fille forte me plaisait de plus en plus, et je tenais à avoir ma revanche un autre jour afin de lui faire voir qui est le chef.

Le restant de la  semaine je faisais le voyage avec sa copine Céline, d’où je tirais beaucoup d’informations sur Marie Ber. Je lui parlais de ma surprise sur  la force que Marie Ber semblait avoir tout en la minimisant. Elle me raconta que Marie Ber avait un demi-frère de 16 ans d’un bon gabarit (1m80 pour 85 kg) qu’elle commandait, et même fessait quant-il ne voulait pas faire ce qu’elle voulait. Elle me disait aussi qu’elle était très forte depuis son plus jeune âge, et qu’à 5 ans elle battait tous les garçons de 12 ans, qu’à 7 ans c’étaient les garçons de 15 ans. Je ne voulais pas le croire, et je pensais qu’elle me racontait des histoires.

Un vendredi soir à la gare routière j’ai voulu que nous nous prenions ensemble en photo dans un appareil de photomaton. L’appareil était occupé par 5 jeunes gens de 18/20 ans qui y chahutaient et en empêchaient l’approche. Je dis à  Marie Ber toi qui est si forte soit disant tu ne peux pas leur demander de partir et s’ils refusent tu n’as qu’à les battre, Céline se pencha à mon oreille et me dit je crois que cela ne lui poserait pas de problème. D’ailleurs en s’approchant Céline me souffla à nouveau, on les connaît, je crois qu’ils vont partir dès qu’ils vont la voir s’approcher,  ils ont déjà eu affaire à elle il y a quelques temps, ils avaient voulu la chahuter bien tord leur en pris  et ils doivent s’en souvenirs. Je pensais qu’elle continuait  à me raconter des cracs, mais en approchant, j’ai vu que les cinq garçons partaient sans attendre les photos qu’ils venaient  de prendre et qui n’étaient  pas encore sortie de l’appareil. Je me posais des questions sur l’attitude des ces garçons, ils n’avaient  quand même pas peur d’une enfant de 12 ans. Céline me glissait de nouveau à l’oreille tu vois ils se souviennent de la trempe qu’ils ont eu en public par Marie Ber. Une fois l’appareil libre nous nous prîmes en photo ensemble, Marie Ber et moi tête contre tête. Nous nous partagions les photos  et je mis deux photos dans mon porte-clés. L’une d’elle seule et de l’autre coté nous d’eux tête contre tête. Ce porte clés ne me quittera plus désormais.

Je continuais pendant les trajets ou Marie Ber n’était pas la à poser des questions à Céline sur le réel de ce qu’elle me racontait sur sa force. Elle me raconta une petite histoire qui c’était  passée au dernier été, ou Marie Ber, aimait  bien faire la moisson du blé. Se qu’elle aime le plus c’est de monter les bottes de pailles à la fourche en haut de la charrette me dit-elle car elle pense que cela lui donne beaucoup de force et lui raffermit la poitrine. Un midi à l’arrêt du travail il ne lui restait qu’une botte de paille à charger quand deux ados de 15 ans d’une soixantaine de kilo chacun s’étaient  assis sur sa botte pour l’embêter de finir son travail. Elle ne s’est pas déconcertée, à planter sa fourche dans la botte entre les deux ados et à monter la botte et les deux jeunes gens à plus de 3 mètres de haut ou ils  se sont retrouver au milieu des bottes de pailles dans la charrette et pas très fier d’eux et sans piper mot. Ils comprirent vu la force de Marie Ber qu’il fallait mieux ne rien dire que d’être ridiculisé à nouveau par cette fille de 12 ans qui les aurait battus facilement dans un combat même à deux contre une.

 Cela avait fait rire tous les hommes de la moisson, mais même les plus forts  se  posaient  des questions sur sa force sans oser en parler. Je ne voulais pas le croire se que me racontait Céline, mais cela me rendais de plus en plus fou d’elle.
Six mois c’étaient écoulés depuis ma première rencontre avec Marie Ber et les semaines passaient quand elle m’invita par l’intermédiaire de Céline à passer un vendredi après midi dans un petit hangar de la gare routière, qu’elle avait trouvé  tranquille et non fermé. Je fus obligé de rater mes cours de compta de cet après midi là, mais c’était tellement excitant de passer quelques heures en sa compagnie dans un endroit apparemment ou nous serions seul et tranquille. Je mis rendis et heureux de la retrouver là, qui m’attendait dans une tenue plus que sexy,  la tenue que je préférai. Une mini-jupe hyper courte  ou l’on pouvait voir ses cuisses musclées harmonieuses,  à la peau si douce, ses petites chaussettes blanches qui en faisait une jolie petite écolière et son pull over moulant et très court aussi,  qui lui faisait autant ressortir sa poitrine puissante et féminine que son ventre plat avec des tablettes de chocolat que beaucoup d’hommes auraient envié avoir. J’étais heureux et fou de la voir dans cette tenue mais  gêné en lui expliquant que je n’avais jamais embrassé une fille, elle me rassura en me disant qu’elle aussi n’avait jamais embrassé un garçon. Je lui dis comme elle était belle et voulait vraiment connaître ses mensurations, alors je sorti un mètre ruban et lui demandais s’il elle me permettait de prendre ses mesures. Je crois que cela l’a rendis fier et heureuse que je sois autant épris de son corps et elle accepta que je prenne les mesures. Je pris mon mètre ruban et commençais à prendre les mensurations de Marie Ber les mains tremblante à frôler son superbe corps. Elle mesurait donc 1m58  pour 56kg, ses mollets étaient de 40cm, ses cuisses de 62cm son tour de hanche de 95cm son tour de taille avec son petit ventre plat et dur comme de la pierre était de 70cm,  son tour de poitrine de 95cm, et ses bras avec un tour de biceps de 34 cm. Elle avait à corps parfait, musclé, mais pas trop ce qui la rendait très belle et très féminine.

Après cela et pour me libérer un peu de ma gène et me mettre en confiance, je la provoquais dans un combat en lui disant que le vainqueur demanderait un gage au vaincu. Elle acquiesça et nous nous mimes en position de combattant. Mon souvenir de ma défaite avec le parapluie me fit vouloir prendre ma revanche dans le même exercice, et j’attaquais tout de suite en lui prenant la main et l’avant bras en essayant de lui faire tourner. Elle fit de même et nous forcions tous les deux pour tordre l’avant bras de l’autre afin de l’amener dans le dos de son rival.

Je forçais de toutes mes forces sans pouvoir faire tourner son bras. Mes yeux étaient rivés sur son bras qui ne bougeait pas, je me sentais devenir tout rouge par l’effort, et je levais les yeux pour voir son visage avec un grand sourire et me dire, tu as commencé à forcer là, bon alors je peux y aller. D’un coup mon bras se retrouva dans mon dos ou je poussai un cri du à la douleur. Je t’en pris arrête je lui dis, tu me fais mal. Elle me lâcha et ria très fort. Alors c’est moi qui est gagnée c’est moi que donne le gage me dit-elle. Je lui dis pas encore, il faut le match retour. Elle dit d’accord, et nous nous remîmes en position d’attaque. Là je changeais de tactique et me jetais sur elle pour la renverser et la maintenir au sol. J’eu l’impression d’heurter un mur. Elle ne  bougea pas d’un pouce pourtant alors que j’avais mis toute ma puissance et ma vitesse pour la renverser et qu’elle ne faisait que 56kg.
Elle me prit les poignets, les amena  dans le dos, et me maintenu les deux bras par mes poignets avec une seule main. J’étais compressé contre son corps et je sentis contre ma poitrine ses deux gros seins si doux en superficie et pourtant si fermes et durs en profondeur. Elle me mit l’autre main aux fesses et me souleva sans difficulté. Elle me porta jusqu'à une caisse en bois, s’assis dessus, m’allongea au travers de ses cuisses, me déculotta et me fessa en me disant, ça c’est pour avoir triché, le pari était sur un seul combat, et je l’avais gagné.


Pour info, je l'ai refais sur un blog avec des images:  http://predatorus.unblog.fr/

terminosaurus

  • Guest
Marie Ber incroyable force 2 [in FRENCH]
« Reply #14 on: February 25, 2011, 12:54:56 pm »
Les claques qu’elle me mit étaient si fortes que j’en pleurais et la suppliais d’arrêter, ce qu’elle fit très rapidement. Elle me dit maintenant j’ai le droit à mon gage, et j’ai choisi que nous fassions l’amour. Je fus surpris et lui rappela que je n’avais jamais embrassé une fille, alors encore moins d’avoir fait l’amour. Elle me répliqua qu’elle aussi, mais qu’elle était amoureuse de moi, et qu’elle voulait découvrir l’amour avec moi. J’en fus heureux, mais qui allait prendre l’initiative ?

J’ai pas eu longtemps à attendre pour la réponse, elle me dit, j’ai beaucoup parlé avec des filles plus âgées que moi, qui m’ont dit qu’a ton âge il y a beaucoup d’énergie, mais que les premiers ébats sont très courts, trop courts, et que je risquais d’être déçu, alors elles m’ont conseillé de te calmer au moins deux fois avant que nous fassions l’amour. En terminant sa phrase alors que j’étais toujours en travers de ses cuisses, elle me souleva et me retourna, me mit en position assise sur ses cuisses, j’étais dans un état sexuel énorme et dur, la beauté et la force qui dégageait de cette fille   était une excitation sexuelle à laquelle je ne pouvais résister. Alors avec une de ses mains elle commença à me masturber. Sa main était douce, ferme et chaude  et en moins de 30 secondes je poussais des cris de jouissances et de plaisir que je découvrais, alors que des jets de mon sperme volaient dans les airs.

Tu vois mes copines avaient raison me dit-elle, il faut que tu te retiennes un peu plus si tu veux m’apporter un peu de plaisir, pour bien te  faire comprendre que tu dois te retenir et pour t’éviter des problèmes je vais te faire voir ce que tu risques. Alors elle m’allongea à nouveau en travers de ses superbes cuisses et me fessa à nouveau, les larmes me vinrent  encore aux yeux et la suppliai encore d’arrêter.

Elle me rassit sur ses genoux et recommença à me branler, je me concentrais pour ne pas partir trop vite, mais en un peu plus d’une minute je sentis mon sperme partir en l’air. Je l’a vis secouer la tête en faisant non, non tu pars trop vite. Et j’eu le droit à une nouvelle fessée.

Elle avait compris rapidement que ce qui me faisait bander énormément était autant sa beauté, sa féminité que sa force exceptionnelle, alors elle s’amusa avec moi en gonflant sa poitrine et en se mettant dans une position les jambes légèrement écartées les poings sur les hanches et en me disant je vais te faire crier mon bébé. Très vite je repris de la vigueur sexuel, alors elle s’avança sur moi,  colla sa poitrine contre mon corps et m’entoura de ses bras puissants pour m’embrasser, et à nouveau je sentis ses deux gros seins contre moi m’exciter d’avantage. Je comprenais que je  ne pouvais me dégager de son étreinte puissance mais aussi que j’en n’avais aucune envie. Ensuite elle  me souleva d’une seule main comme la première fois, m’emmena dans un coin derrière des caisses ou nous étions à l’abri de tout regard de personnes qui auraient pu entrer à notre insu.
Alors elle  retira mon pantalon, me coucha sur une caisse en ayant pris la précaution de la recouvrir d’un carton qu’elle avait trouvé dans le hangar. Elle m’embrassa à nouveau et me souffla à l’oreille, maintenant cela devrait être bon, retiens toi le plus longtemps possible sinon tu as vu se que je pouvais te faire subir, et bien  cela n’était rien par rapport à ce que je te ferai si tu pars trop tôt.

L’idée de se que je devrais devoir subir au cas où je ne serais pas être à la hauteur me fis autant peur qu’excité.   Elle se positionna au dessus de moi à genoux, me pris le sexe, et se le glissa à l’intérieur du sien, qui était chaud et humide. Ensuite elle me chevaucha en commençant à descendre et à remonter doucement le long de mon sexe. La sensation était phénoménale, je gloussais autant pendant qu’elle descendait sur moi que lorsqu’elle remontait, jusqu’au moment ou je commençais à sentir son vagin qui se resserrait de plus en plus fort sur mon sexe.  Elle descendait puis emprisonnait mon sexe dans le sien et remontait en me soulevant uniquement par la pression exercée par son vagin sur ma bite se qui me provoquait un mal fou presque insupportable. Tout mon poids était supporté par mon sexe se qui provoquait une douleur énorme, alors que lorsqu’elle me relâchait et redescendait sur moi s’était une phase d’extase. Il y avait un contraste fou entre les sensations  grandioses que j’avais lorsqu’elle relâchait la pression et que mon sexe glissant de l’intérieur de son vagin pendant que mon corps retrouvait le  contact avec la caisse, puis qu’elle redescendait doucement le long de ma verge et que je me sentais la pénétrer à nouveau me provoquait une sensation voluptueuse, qui me faisait  pousser de petits cris ainsi que des grognements de bonheur avant de m’enfermer à nouveau et me soulever uniquement enfermer l’intérieur de son sexe qui me faisais pousser la dans la circonstance des cris de douleur.

C’était une chose étrange cette sensation de crier autan par le plaisir qu’elle m’apportait pendant que nous faisions l’amour que par la douleur qu’elle y ajoutait en m’enfermant et me  soulevant uniquement par nos propres sexes pour me prouver sa force et sa dominance autant physique que sexuel sur moi.
Le plaisir et la douleur mon permis de durer suffisamment longtemps pour que je puisse lui apporter son premier plaisir dont je l’entendis elle aussi partir dans de grands cris. Je n’en étais que plus heureux et rassuré car cela m’évitais une fessée dont j’avais la hantise vu la force qu’elle pouvait avoir et les promesses faites d’une plus violente que celles déjà reçues.

Après quelques derniers bisous, nous sortîmes de derrière notre cachette à moitié déshabillé, lorsque nous vîmes entrer 3 hommes en jogging dans le hangar. Ils nous aperçurent et surtout se focalisèrent sur Marie Ber, dont la tenue sexy attira toute leur attention. Je crois qu’ils comprirent très vite se que nous venions de faire, et se dirigèrent vers nous. Le plus grand s’adressa à Marie Ber, je crois que tu viens de passer un bon moment petite, mais je peux t’en faire passer un meilleur.

Nous avons alors essayé de leur dire que nous voulions sortir, mais le plus grand attrapa Marie Ber par les épaules et lui dit je crois que l’on va bien s’amuser tous les deux. Pendant ce temps la, les deux autres m’attrapèrent chacun par un bras et me maintinrent immobilisé. Ils étaient très grands et forts, plus de 100kg chacun. Je ne pouvais rien faire contre eux, et j’étais dans l’impossibilité de secourir ma dulcinée.

Pendant ce temps Marie Ber était tenu par le plus grand, un géant de 120kg pour près de 2 mètres. Elle était placée dans un coin du hangar sans pouvoir lui échapper. Il l’a relâcha et ôta son haut de jogging, qui fit apparaître une musculature impressionnante. Il dit à Marie Ber, maintenant tu vas voir ce qu’est un homme, un vrai. Il voulu l’a prendre dans ses bras mais elle arrêta son geste en lui prenant les mains dans les siennes.

Alors elle pleura et supplia l’homme de nous laissé partir, mais l’homme n’en fit rien et voulu l’attirer à elle et l’enserrer dans ses bras. Les deux hommes qui me tenaient lui dirent ne fais pas de bêtises ont risques de gros ennuis. Il leur répondit ne craignez rien on sera les faire taire  et personne se saura que s’était nous. Marie Ber toujours en pleure commença à résister à la force du géant, et la une chose incroyable se produisit alors, l’homme forçait de plus en plus pour attirer Marie Ber à lui en lui amenant les bras dans son dos pour la serrer ensuite contre lui, mais cela paraissait inefficace. Il commençait à transpirer à devenir tout rouge alors que Marie Ber ne bougeait pas.

Tout d’un coup tout le monde se rendit compte, autant elle que nous qu’elle était plus forte que le géant qui voulait la violer et nous faire taire ensuite. Alors elle arrêta de pleurer et commença à monter ses bras au dessus de sa tête, puis de tordre les mains de l’homme qui voulait abuser d’elle avec grande facilité. Et là la peur et les pleurs changèrent de camps.
Les deux hommes qui me tenaient me lâchèrent devant le spectacle qui  se déroulait sous leurs yeux ainsi que des miens. Nous étions  prostrés devant quelque chose d’impensable, une enfant de 56kg pour 1m58 résistait à un homme de 2 mètres pour 120kg.

Marie Ber, alors tordit les mains du géant, pourtant l’homme aurait avait l’avantage du poids et de la taille, il dominait Marie Ber dont la tête n’arrivait qu’a la poitrine de l’homme. Marie Ber continua à retourner les poignets du géant qui se retrouva à genoux devant la femme enfant qui ne faisait pas la moitié de poids du corps de l’homme. Le géant commença à crier, à supplier et à pleurer pour qu’elle arrête sa pression sur ses mains. Pendant ce temps Marie Ber riait comme une petite folle. Alors comme ça tu voulais abuser de moi, espèce de chien, je vais te le faire payer. Alors Marie Ber, changea de prise, et abaissa ses bras très bas pour à nouveau retourner les poignets de l’homme qui pour éviter la douleur se redressa sur ses pieds. Marie Ber accentua la force qu’elle m’était sur les poignets de l’homme pour le faire marcher sur la pointe des pieds tout en pleurant de douleur et suppliant toujours qu’elle arrête et qu’elle le laisse partir. Elle le fit marcher sur la pointe des pieds en pleur comme cela pendant quelques minutes dans tout le hangar.

Pendant ce temps la les deux hommes et moi étions subjuguer par la scène qui s’offrait à nos yeux. Autant eux comme moi incapable de bouger.
De lassitude Marie Ber lâcha arrêta sa prise pour lui amener les bras dans le dos en lui disant alors comme cela tu voulais de coller contre mon corps et bien tu ne vas pas être déçu. Elle lui fit la prise de l’ours et le pressant contre son propre corps. Tu aimes mon corps ? tu aimes la pression que j’exerce sur le tien ?

L’homme poussait des cris de douleur sous le concassage que Marie Ber exerçait sur son corps, la pression de ses bras était incroyable. L’homme continuai à crier, pleurer supplier de le relâcher, mais rien ni fit elle continua sa pression jusqu'à temps que l’homme s’évanouisse étouffer dans ses bras. Il pendait lamentablement dans les bras de Marie Ber qui riait.

Elle le laissa glisser à terre, puis le saisi par le cou et une cuisse pour le soulever au dessus d’elle sans le moindre effort apparent, comme si il s’était agit d’une poupée de chiffon. Pourtant l’homme pesait dans les 120kg. Elle marcha comme cela quelques mètres avant de le jeter à plus dans 5 mètres dans un amas de cartons.

Ensuite elle s’approcha de sa victime et le gifla à plusieurs reprises pour le réanimer. L’homme repris conscience et se releva. Marie Ber lui dit alors cela te suffit vermine ?

L’homme était fou de rage et se précipita sur elle, en lui disant on va voir se que tu peux faire à la boxe, petite salope ? Il la frappa violement au ventre et on entendit un bruit sourd de son poing contre la masse dur comme de la pierre qu’était le ventre de Marie Ber, on entendit juste après le cri de douleur que l’homme poussa. Il venait de se briser la main en la frappant. Marie Ber n’avait pas bougé et riait à gorge déployée.

Je vois que tu n’as pas compris lui dit Marie Ber, je vais te briser tous les os. Alors elle commença à frapper. Le premier coup de poing frappa le ventre de l’homme avec une telle force et telle violence que l’homme se trouva suspendu plié en deux au bout du bras de Marie Ber à 1 mètre du sol et cela sans qu’elle donne l’impression de forcée. Elle portait 120kg au bout d’un bras sans effort.

De la bouche de l’homme sortait du sang. Alors elle continua à le frapper dans tout le corps et à chaque coup on entendait les cris de douleurs qui ne couvraient pourtant pas les os brisés à chaque impact. En quelques minutes l’homme ne fut plus qu’un amas de chair et d’os brisés toujours vivant mais inconscient.

Alors elle se retourna vers nous et dit à vous messieurs. Les deux hommes prirent peur et tournèrent le plus rapidement possible les talons pour se précipiter vers la sortie, mais encore une fois chose étrange malgré ses haut talons Marie Ber, les rattrapa en quelques enjambées, les attrapa au col du jogging et les souleva encore une fois avec une facilité déconcertante. Elle portait 100kg au bout de chaque bras sans donner l’impression de forcer. Mais combien pouvait-elle soulever ? 300k, 400kg vu l’aisance qu’elle avait à transporter ces deux gaillards, et je me suis mis à penser qu’il y avait personne au monde aussi forte qu’elle. Puis elle les ramena ou le géant gisait et à nouveau frappa chacun des hommes avec une force extraordinaire et qui fit les mis dans le même état que leur collègues inertes, inconscients, beaucoup d’os brisés et avec des dégats irréparables surement.

Alors elle se retourna vers moi, et me dit il est temps de rentrer maintenant. Je lui fit voir les 3 hommes gisant sur le sol et lui dit, tu n’as pas peur qu’ils portent plainte ? Non me répondit-elle, je pense pas qu’ils iront dire qu’ils ont été battu par une fille de 12 ans et demi et en plus ils ne prendraient pas le risque que je les attaque pour tentative de viol.

Elle avait raison, jamais ils iront se plaindre de leur conduite à quelqu’un.
Nous rentrions chacun chez nous et le soir aux infos j’appris que trois hommes avaient été battus dans un hangar de la gare routière, et que l’un de ces hommes était le champion de France poids Lourds de Boxe qui devait rencontrer dans un mois un américain  champion  du monde de la catégorie et qu’il était grand favori. Le journaliste disait que cela devait être un règlement de compte ou un coup de la mafia et que les trois hommes, le champion de France ainsi que les deux autres qui étaient ses sparring partenaires avaient du être frapper par une dizaine d’hommes munis de battes de baseball et de barre de fer vu l’état des blessures et des fractures des victimes.

J’appelai au téléphone Marie Ber, elle avait entendu aussi les infos et me racontait qu’elle prenait conscience qu’elle était surement la personne la plus forte du monde et qu’elle en éprouvait un grand plaisir, qu’elle m’aimait et qu’elle savait que la voir dominer les hommes me surexcitait, alors elle ferait des combats pour que notre amour soit le plus grand possible.

Elle m’invita chez elle le lendemain, pour me présenter à ses parents et surtout pour  recadrer son père propriétaire d’une importante scierie, de plusieurs domaines agricoles, viticoles, etc… mais qui était surtout un homme alcoolique très fort et très violent et qui passait son temps au café à  boire et à se battre avec les routiers qui si arrêtaient. Il était courant qu’il en mette chao quatre ou cinq à la fois et des balaises en plus. Marie Ber devait avoir hérédité  sa force de lui. Rentré chez lui il était aussi courant qu’il frappe sa mère se qui jusqu'à présent la rendait malade, mais ayant pris connaissance de sa propre force elle avait décidé de lui faire payer tout ce que sa mère avait du subir.

J’arrivais chez elle et fut surpris par sa demeure qui était immense, un château en U du 17ème ou du 18ème siècle, d’une trentaine de pièces sur deux étages.  Elle me présenta à sa mère qui était une personne charmante et fragile. Elle ressemblait beaucoup à Marie Ber, mais d’un physique beaucoup plus léger. Son père rentra quelques temps plus tard et  elle me présenta à lui. Comme d’habitude il était ivre, et s’adressa à moi très vulgairement en me disant de me tirer et en traitant sa fille de petite pute, il voulu m’attraper me frapper et me mettre à la porte, quand Marie Ber s’interposa entre nous, et lui dit s’est fini maintenant tu ne frapperas plus personnes, tu as trop torturé maman, et tu vas le payer. Il rit et lui dit se n’est pas toi petite pute qui va me faire peur. Il l’a gifla sans que cela ne la fit bouger. Surpris il recommença avec aussi peut de succès. Alors à son tour elle le gifla et il fut surpris de la violence de la claque qui le fit tourner sur lui-même et tomber à genoux. Il se releva et la frappa d’un grand coup de poing de le ventre, mais qui fut aussi inefficace que celui du boxeur de la veille et avec le un résultat identique, un cri et une douleur dans le poignet qu’il venait de se briser.  Alors elle commença à le frapper en modérant légèrement ses coups puisqu’il s’agissait quand même de son père. Elle lui brisa quand même quelques os avant qu’il ne la supplie à genoux d’arrêter de la frapper. Il pleurait, elle le souleva alors à l’amena vers une chaise ou elle s’assit et le coucha en travers de ses genoux, le déculotta et lui mis une fessée dont il se rappellerait toute vie. Il la suppliait d’arrêter, mais elle continu jusqu'au  moment ou il tomba dans le pommes.
Marie Ber devint dès ce jour le chef de famille et dirigeait de l’entreprise de son père, même si en apparence son père dirigeait les  sociétés, il était devenu un homme de paille.
Elle m’appela le week-end suivant pour aller voir à l’entraînement l’équipe de rugby locale, car si elle était pouvait battre 3 hommes forts, elle voulait savoir si elle était capable de mettre une quinzaine d’hommes forts à ses pieds. Elle commençait à prendre beaucoup de plaisir à dominer les hommes et aimait me le faire voir. Elle me glissa à l’oreille en me soulevant doucement je t’aime et j’aime te prouver ma force en dominant devant toi des hommes très forts. Tu es le seul que j’aime et à qui je ne ferais pas de mal, hormis une fessée de temps en temps si tu n’es pas à la hauteur de mes espérances sexuelles ou que tu ne fasses pas se que je te dis. J’étais fier de cet aveu et aussi assez inquiet à se qui pouvait m’attendre lorsque qu’elle se mettrait en colère contre moi.

Mais ceci est une autre histoire.

Marie Ber et les rugbymen.

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