Français

[pet_102002]

Laquelle pet_102002 ?

C’était avec Alejandra Chacon Velasquez 

Je suis sur ma tablette mais dès que je reprends mon ordinateur je vous expliquerai un peu plus longuement mais ça sera moins bien écrit que notre ami Jullyeg 

Chouette ! Mais note bien qu'à chaque fois, c'est moi qui avais aussi fait capoter les histoires naissantes.

Je vais chercher car je ne crois pas la connaître. À moins que ce ne soit la très jolie argentine fitness Alejandra que j'avais rencontrée plusieurs fois via des sites d'escort il y a longtemps. C'était une vraie bombe !!

Non , c'est une sessionneuse espagnole. Catalane plus précisément. Mais pas très malin d'avoir mis sa véritable identité ici...
Sinon mon récit de ma session quand elle est passée à Paris fin janvier dernier page 133 post 1982 .

C’est vrai j’ai m*** avec le nom mais avec internet tout le monde peut trouver les véritables noms de nos belles sessioneuses...

Après c’est entièrement de ma faute & je suis comme Jullyeg j’ai tout fait capoter car je suis marié et j’ai eu peur de me lancer dans cette histoire...
Ai-je bien fait ou pas ? Je ne regrette en aucun cas cette histoire bien que je sois divorcé aujourd’hui.

Il y a 2 ans je discutais beaucoup avec elle via Messenger et j’ai vu qu’elle faisait des sessions et qu’elle n’était jamais venue sur Nice. En l’espace de 2 mois elle est venue 2 fois. La 1ère nous nous sommes vu le soir pour une session banale. Bien évidemment je paya celle-ci car je veux toujours régler mes sessions, je ne veux pas abuser des filles car j’ai trop de respect pour elles.
Dès qu’elle ouvrit la porte, je plongea dans ses yeux bleus. La session se déroulera normalement avec un FS à la fin mais pas comme d’habitude à mes yeux car ce fut super super sensuels...
Je suis rentré à la maison & partant elle m’a dit qu’elle n’avait personne le lendemain après-midi donc je pensais lui faire visiter Nice (sérieusement) j’arrive devant sa porte d’hôtel & elle m’ouvrait entièrement nu et elle se jette littéralement sur moi !!!!

Un moment inoubliable !!!!
Nous avons passé l’après-midi dans les bras l’un de l’autre & je lui avais dit immédiatement que j’avais seulement 100€ sur moi car je pensais qu’on allait visiter Nice puis que je l’emmènerai à l’aéroport comme c’était prévu...

En fin d’après-midi je l’emmène à l’aéroport. Elle me dit que c’était génial & qu’elle aimerait bien continuer à discuter avec moi... Dès qu’elle passa la douane elle m’a envoyé des messages surfer gentil sur Wattapp...

Nous avons discuter pendant longtemps de manière très tendre, j’ai appris pleins de choses sur sa vie privée et elle revint 1 mois et demi après sur Nice pour 2 jours où nous avons vécu comme u, véritable couple.

Nous nous sommes quittés le cœur lourd et je devais aller sur Barcelone au printemps pour la voir & passer du temps avec elle... Puis je ne sais pas...

Sans doute la peur, un jour je lui ai dis que je ne voulais pas continuer... Ce n’était pas à cause de ma femme car j’étais déjà en plein divorce mais je ne savais pas pourquoi...

Depuis ce jour, on se voit quelques messages de temps en temps pour les fêtes et les anniversaires mais c’est devenu plus froid ce qui est tout à fait normal...

Voilà mon histoire, j’espère que je ne vous ai pas top embêté mais c’est vrai que le confinement nous fait réfléchir.

[jullyeg]

Ah oui, effectivement, j'étais allé aux renseignements sur ses tarifs, début janvier ; elle m'avait répondu, et c'était raisonnable. Et je ne sais plus du tout pourquoi je n'avais pas donné suite, finalement. Mais, même si elle n'est pas toute jeune, elle semble bien conservée, et portée sur la sensualité.
Allez, vu la façon dont tu parles d'elle, et le contact étant gardé, l'histoire est peut-être susceptible de reprendre !

[ana1x]

Ah oui, effectivement, j'étais allé aux renseignements sur ses tarifs, début janvier ; elle m'avait répondu, et c'était raisonnable. Et je ne sais plus du tout pourquoi je n'avais pas donné suite, finalement. Mais, même si elle n'est pas toute jeune, elle semble bien conservée, et portée sur la sensualité.
Allez, vu la façon dont tu parles d'elle, et le contact étant gardé, l'histoire est peut-être susceptible de reprendre !

Elle vient régulièrement en France. Donc ça devrait pouvoir le faire. 

[pet_102002]

Ah oui, effectivement, j'étais allé aux renseignements sur ses tarifs, début janvier ; elle m'avait répondu, et c'était raisonnable. Et je ne sais plus du tout pourquoi je n'avais pas donné suite, finalement. Mais, même si elle n'est pas toute jeune, elle semble bien conservée, et portée sur la sensualité.
Allez, vu la façon dont tu parles d'elle, et le contact étant gardé, l'histoire est peut-être susceptible de reprendre !

Elle vient régulièrement en France. Donc ça devrait pouvoir le faire. 

Il ne faut jamais dire jamais. En tout cas c’est vrai que ça fait réfléchir toutes nos histoires les amis

[samos]

Ah oui, effectivement, j'étais allé aux renseignements sur ses tarifs, début janvier ; elle m'avait répondu, et c'était raisonnable. Et je ne sais plus du tout pourquoi je n'avais pas donné suite, finalement. Mais, même si elle n'est pas toute jeune, elle semble bien conservée, et portée sur la sensualité.
Allez, vu la façon dont tu parles d'elle, et le contact étant gardé, l'histoire est peut-être susceptible de reprendre !

Elle vient régulièrement en France. Donc ça devrait pouvoir le faire. 

Il ne faut jamais dire jamais. En tout cas c’est vrai que ça fait réfléchir toutes nos histoires les amis

je l'ai ren 2 fois et ce fut à chaque fois super.... Caliente

[petitskinny]

J'ai commencé à mettre en ligne une histoire de grandes BBW qui dominent un petit homme:

Synopsis:  Trois amies lesbiennes solidement bâties qui initièrent le petit minet que je suis au plaisir d’être une femme, cette soirée fut magique...

J’ai rencontré Samantha, Clara et Véronique lors de ma rentrée en fac de droit en septembre. Je débarquais de ma campagne dans cette grande ville où je ne connaissais personne, et ces trois belles plantes m’ont pris sous leurs ailes en quelques sortes. A force de me voir tout seul sur le banc de l’amphi, elles sont venues s'asseoir à côté de moi. Je dois avouer qu’elle m’ont un peu fait peur ! Pas une ne fait moins d’1m78 et perchée sur ses talons, Sam qui est la plus grande dépasse allègrement les 1m95. Elles ont toutes quelques kilos en trop mais ils sont si harmonieusement répartis sur leur solide et pulpeuse silhouette que je prends beaucoup de plaisir à regarder leurs fesses musclées et rebondies moulées dans leur jean, et leurs poitrines opulentes qui oscillent de manière hypnotiques quand elles rient. Quand Clara et Véronique sont venues s’asseoir de part et d’autre sur le banc, je me suis demandé ce que ces deux amazones me voulaient et elles ont vu à mon visage que je paraissais inquiet


La suite ici:

https://www.xstory-fr.com/lire-histoire,feminisation-presque-forcee,40549.html

[jullyeg]

J'ai encore quelques anecdotes ou récits de sessions qui peuvent être amusants.
Je commence par le plus court.
Je ne saurais pas dire à quand ça remonte, c'était il y a pas mal d'années, j'avais rencontré Sunfire pour une session à Paris.
Je fais toujours en sorte que les échanges par mail soient le plus précis possibles (j'explique notamment aux filles que je n'aime pas du tout le "posing" de bodybuilder, mais seulement des attitudes plus naturelles, et bien sûr je décris ce que j'attends), mais cette fois-là, ça n'avait pas dû être le cas.
En entrant dans la chambre et en parlant avec elle, l'évidence a tout de suite été celle d'un malentendu. Elle avait bien le dress-code sexy que je lui avais demandé, mais elle ne voulait pas du tout pratiquer la session sensuelle que j'attendais.
Le flottement dure un instant, et elle me fait comprendre, tout en paraissant très contrariée, que je pouvais partir et ne lui devais rien.
N'aimant pas du tout la lutte, je ne savais pas quoi faire. J'allais partir et au dernier moment, je lui propose une solution de compromis : lui donner la moitié de la somme prévue (pour 30 mn) et rester un petit quart d'heure, "pour voir". Elle restait contrariée, mais s'est dit que c'était mieux que rien.
Ce qu'elle avait à proposer était très limité, elle s'est changée pour être un peu plus à l'aise et m'a fait quelques démonstrations de ces talents d'athlète : équilibres, équerre mains au sol, pompes à un bras, grand écart. Elle avait un passé de gymnaste et sa force musculaire réelle était insoupçonnable en voyant sa silhouette, bien plus fine que celle d'une bodybuildeuse. Mais son dos, ses abdos, son passé de gymnaste lui donnaient une puissance, une tonicité vraiment étonnante, et sa souplesse était aussi bluffante.
J'étais impressionné durant les cinq minutes qu'avait duré cette démonstration, mais je restais sur ma faim.
Elle propose quelque chose comme du worship, on se met devant un miroir, je la caresse, son corps était magnifique, elle était vraiment sexy, avec des yeux magnifiques, et une peau de pêche... mais cela restait très frustrant.

Et puis, je lui demande si, pour finir, on pouvait faire un bras de fer. Elle me dit ok.

Je crois qu'elle a voulu me punir et faire exploser sa contrariété dans cet exercice. Elle m'a littéralement tordu le bras, une douleur terrible m'a irradié de l'arrière de l'épaule jusqu'au bas du dos. J'ai crié. Je crois que ça a été le seul sourire que je lui ai vu. Elle ne s'est pas excusée.
J'ai bafouillé des paroles, plus d'admiration que de reproche, et elle a ajouté qu'elle aurait pu me faire VRAIMENT mal si elle avait voulu.

Ça n'a pas vraiment brisé la glace, mais on s'est dit au revoir un peu moins froidement que tout le reste. Un broyage pareil crée un petit lien.
La douleur avait été hyper-violente sur le moment, aujourd'hui encore je ne sais pas comment elle a pu me faire mal à ce point. J'ai gardé un point de tension et de gêne au bras et dans le dos pendant plusieurs jours.

Voilà comment une de mes sessions les plus ratées est restée, finalement, un assez bon souvenir.

[jullyeg]

Quelques précisions.
Ce récit est entièrement réel. Je n'exagère rien.
S'il faut comparer la force de Sunfire, telle que je l'ai observée... et ressentie, avec celles d'autres filles, il faut prendre des précautions.

D'abord, je me mouille. Je pense que dans cet exercice du bras de fer, au moment où je l'ai rencontrée en tout cas, elle aurait battu, sans doute très facilement, certaines bodybuildeuses, même massives. Je suis même certain que Maryse Manios, par exemple, n'aurait pas tenu beaucoup plus longtemps que moi. Bien sûr la musculature de Maryse fait que Sunfire ne lui aurait sûrement pas fait mal comme à moi. Mais Maryse, comme d'autres filles très massives m'ont dominé très difficilement au bras de fer, bien que je ne sois vraiment pas très fort.

Mais si Sunfire m'a broyé comme ça, il y a bien sûr des paramètres autres que sa force.
D'abord, il y a eu la surprise. Je ne m'attendais pas à une telle violence, ni à une telle force de sa part, sans quoi j'aurais peut-être été dans une position plus stable et plus gainée.
Ensuite, la situaion a fait qu'elle a vraiment voulu me "punir", au risque de me blesser, ce que ne font pas les autres filles, en général.
Il y a peut-être aussi un paramètre de technique et de position, mais je connais les questions de levier et de position du poignet, et je ne pense pas qu'elle ait vraiment réussi à tirer vers elle d'abord ni à me plier le poignet. Sans pouvoir être sûr, malgré tout.


Pour revenir à la volonté de faire, mal si on prend l'exemple d'une fille à la force herculéenne comme Irene Andersen, elle aborde un bras de fer avec amusement, en restant immobile et en laissant le gars s'essoufler sans la faire bouger d'un centimètre, et en demandant : "tu essaies vraiment, parce que je ne sens rien ?" "Non, tu pousses, là ? je ne et crois pas !", et quand elle se met à pousser, elle le fait avec maîtrise, pour ne pas faire mal, et à un très très faible pourcentage de sa puissance maximum.

Et il vaut mieux qu'elle soit si prudente, parce qu'elle pourrait vraiment blesser quelqu'un sérieusement.

Donc, bien sûr Irene Andersen ou Amber et quelques autres sont très nettement plus fortes que Sunfire et même un petit gabarit comme Kashma Maharaj l'est également. On pourrait, à vrai dire, citer beaucoup de filles massives qui le sont.
Ce qui est amusant et étonnant, c'est que toutes ne le soient pas.
Or, je suis sûr que Maryse, mais aussi Karla Nelson autrefois, ou Nicole Pfützenreuter n'auraient pas réussi à retourner le bras de cette poupée de 60 kgs.

[pet_102002]

J'ai encore quelques anecdotes ou récits de sessions qui peuvent être amusants.
Je commence par le plus court.
Je ne saurais pas dire à quand ça remonte, c'était il y a pas mal d'années, j'avais rencontré Sunfire pour une session à Paris.
Je fais toujours en sorte que les échanges par mail soient le plus précis possibles (j'explique notamment aux filles que je n'aime pas du tout le "posing" de bodybuilder, mais seulement des attitudes plus naturelles, et bien sûr je décris ce que j'attends), mais cette fois-là, ça n'avait pas dû être le cas.
En entrant dans la chambre et en parlant avec elle, l'évidence a tout de suite été celle d'un malentendu. Elle avait bien le dress-code sexy que je lui avais demandé, mais elle ne voulait pas du tout pratiquer la session sensuelle que j'attendais.
Le flottement dure un instant, et elle me fait comprendre, tout en paraissant très contrariée, que je pouvais partir et ne lui devais rien.
N'aimant pas du tout la lutte, je ne savais pas quoi faire. J'allais partir et au dernier moment, je lui propose une solution de compromis : lui donner la moitié de la somme prévue (pour 30 mn) et rester un petit quart d'heure, "pour voir". Elle restait contrariée, mais s'est dit que c'était mieux que rien.
Ce qu'elle avait à proposer était très limité, elle s'est changée pour être un peu plus à l'aise et m'a fait quelques démonstrations de ces talents d'athlète : équilibres, équerre mains au sol, pompes à un bras, grand écart. Elle avait un passé de gymnaste et sa force musculaire réelle était insoupçonnable en voyant sa silhouette, bien plus fine que celle d'une bodybuildeuse. Mais son dos, ses abdos, son passé de gymnaste lui donnaient une puissance, une tonicité vraiment étonnante, et sa souplesse était aussi bluffante.
J'étais impressionné durant les cinq minutes qu'avait duré cette démonstration, mais je restais sur ma faim.
Elle propose quelque chose comme du worship, on se met devant un miroir, je la caresse, son corps était magnifique, elle était vraiment sexy, avec des yeux magnifiques, et une peau de pêche... mais cela restait très frustrant.

Et puis, je lui demande si, pour finir, on pouvait faire un bras de fer. Elle me dit ok.

Je crois qu'elle a voulu me punir et faire exploser sa contrariété dans cet exercice. Elle m'a littéralement tordu le bras, une douleur terrible m'a irradié de l'arrière de l'épaule jusqu'au bas du dos. J'ai crié. Je crois que ça a été le seul sourire que je lui ai vu. Elle ne s'est pas excusée.
J'ai bafouillé des paroles, plus d'admiration que de reproche, et elle a ajouté qu'elle aurait pu me faire VRAIMENT mal si elle avait voulu.

Ça n'a pas vraiment brisé la glace, mais on s'est dit au revoir un peu moins froidement que tout le reste. Un broyage pareil crée un petit lien.
La douleur avait été hyper-violente sur le moment, aujourd'hui encore je ne sais pas comment elle a pu me faire mal à ce point. J'ai gardé un point de tension et de gêne au bras et dans le dos pendant plusieurs jours.

Voilà comment une de mes sessions les plus ratées est restée, finalement, un assez bon souvenir.

Merci beaucoup mon ami pour ces sympathique récit
C'est toujours un IMMENSE plaisir de te lire 

[petitfilou87]

J'ai decouvert sur un site X une video d une quebecoise powerlifteuse et culturiste
son visage est superbe et elle est enorme
j ai voulu poster la video ici mais elle a été enlevé rapidement
elle se fait appeler CYNTHIA
ce site c est J&M
si quelqu un pouvait me dire son nom et son IG
par avance merci

[jullyeg]

Un autre souvenir, un peu plus personnel.

Là non plus, je n'ai plus l'année exacte en tête avec certitude, mais je pense que c'était il y a un peu plus de 20 ans (probablement en 1999).
Florence avait encore sa boutique du 20e, j'y passais parfois et y faisais des sessions*. Elle avait aussi sa revue papier qui a existé quelques années. J'y avais écrit deux ou trois choses sous pseudo (mes seules collaborations avec Athena2, autres que comme client).
Il y avait une culturiste belge, que Florence connaissait assez bien et qui écrivait des textes pour la revue.
Ses initiales sont N.G. et elle est devenue écrivaine. Une auteure à la fois assez confidentielle et avec une certaine reconnaissance dans le monde de l'édition, pour son exigence intellectuelle, et la qualité de son écriture.
Je crois que N.G. avait fait paraître une annonce dans Athena2 (à moins que je l'aie su autrement, en passant à la boutique) disant qu'elle cherchait un conjoint et n'avait pas une vie sociale qui lui permettait de rencontrer des hommes intéressants. Toujours est-il que j'étais entré en contact avec elle, on avait dû s'écrire, d'abord, et parler au téléphone au moins une fois, ensuite. Je me souviens que les échanges à distance avaient été assez froids et secs : elle voulait me faire parler, vérifier que j'étais digne de la rencontrer, un entretien d'embauche, en quelque sorte, l'attitude de quelqu'un qui ne veut pas perdre son temps avec des hommes sans intérêt.
J'avais donc été ravi de passer ce test avec succès, d'avoir réussi à franchir ce que je comprenais comme un premier barrage, un premier tour, une "admissibilité".
J'étais admissible pour rencontrer une culturiste, intellectuelle, célibataire et qui cherchait un homme pour une relation de couple !
Il y avait de quoi se réjouir.
J'étais célibataire, moi aussi, à ce moment, l'histoire me tentait.
Les photos d'elle que j'avais pu voir me faisaient des impressions contrastées : sur certaines, sur une surtout, elle ne me plaisait pas beaucoup (très masculine), sur d'autres, je la trouvais très attirante ; ce qui est sûr, c'est que son profil intellectuel me plaisait vraiment.

J'ai donc acheté un aller-retour pour Bruxelles, où elle vivait. Elle m'avait proposé de dormir chez elle, sans que ça engage à rien (dans une chambre d'amis) afin qu'on ait un peu de temps pour parler : faire l'aller-retour dans la journée aurait été un peu rapide.
Cette escapade était excitante.
J'adore ce frisson de l'inconnu avant une rencontre. Frisson qu'on connaît tous avant une session. Frisson du secret. Frisson de l'attente. Frisson du fantasme à venir. Frisson de l'ouverture de la porte. Frisson démultiplié dans ce cas par le fait que ce n'était pas tarifé, que la rencontre incluait le corps et l'esprit  - j'avais envie de parler de littérature, de viragophilie**, de philosophie, d'art avec elle - excitation démultipliée par le fait, que qui sait, ma vie pouvait basculer à un moment où j'étais dans le flou total, peut-être à un virage, en quête de quelque chose, d'un changement.

J'avais, bien sûr, son adresse et elle m'avait expliqué l'itinéraire. C'était facilement accessible depuis la gare.
Lorsque j'arrive chez elle, je vois avec plaisir un beau quartier en plein centre de la capitale belge. Une belle maison de ville. Je sonne.
Elle m'ouvre. Le bonjour est un peu maladroit des deux côtés : mais ce malaise initial était compréhensible. Elle-même devait se sentir peu confortable avec la démarche, le caractère artificiel de la rencontre (devenu beaucoup plus banal, depuis, avec les sites de rencontres). Cette nervosité initiale ne devait pas être un frein.
Il ne fallait surtout pas que ce soit un frein, parce que la bonne, la très bonne nouvelle, même si elle n'avait pas pris soin de beaucoup se mettre en valeur, ni se pomponner, était qu'elle était exactement identique aux photos qui me plaisaient le plus. Des cheveux mi-longs. Un visage agréable et doux. Des bras et des épaules impressionnants que ses manches courtes laissaient bien voir. Une belle peau. Bref, je me suis dit, pendant quelques secondes que j'avais vraiment bien fait de venir.
J'avais l'impression que jamais, peut-être, le fantasme et la vie sentimentale n'avaient eu autant de chances, dans ma vie, de se rencontrer, de fusionner, de ne faire plus qu'un.

Ces quelques secondes d'enchantement, sur le pas d'une porte, auront été les seules positives de toute cette histoire.

Il est difficile de décrire ce que j'ai vécu, ensuite, dans cette maison autrement que par le mot désastre.

Très vite, cette maison a eu sur moi un effet oppressant. C'était sans doute une maison de famille dont elle avait hérité. Elle était encombrée, pleine de meubles de style, de vieux fauteuils dans lesquels personne ne s'asseyait jamais. Elle sentait très fort le renfermé comme si les fenêtres n'avaient pas été ouvertes depuis des années. Les volets étaient fermés et la lumière du jour était absente.
Elle m'a offert une boisson chaude, et on s'est assis pour discuter.
J'avais envie de lui parler de moi, plus en détail, et puis de lui poser une multitude de questions sur son travail, ses textes, les philosophes qui l'inspiraient. Elle ne m'en a pas laissé le temps. Elle a parlé, très vite, des conditions non négociables de la vie de couple qu'elle envisageait.
Quelles que soient les conditions en question, il faut bien dire que ça aurait semblé prématuré, d'énoncer ainsi les "conditions du contrat de mariage", la logique me paraissant de faire d'abord connaissance, mais je n'avais pas vraiment voix au chapitre.
Elle m'expliqua alors qu'ayant fait le choix d'une vie hyper exigente, quasi-monastique où elle voulait faire progresser sans fin son corps, en levant des poids, et son esprit, par la lecture, l'étude et l'écriture, il lui restait peu de temps pour autre chose.
Elle voulait une relation affective a minima mais stable qui lui offre un peu d'équilibre. Tout en refusant le modèle bourgeois du couple. Elle avait surtout besoin que la relation affective lui soit utile : la vie matérielle l'intéressant peu, il lui fallait un mari qui fasse les courses, le ménage, la cuisine. Elle a parlé très frontalement de sexe, mais comme elle est identifiable, je n'entrerai pas dans les détails.
Rien de ce que je faisais et lui avais dit ne l'intéressait. Mes questions sur son travail ne l'intéressaient pas, elle ne voulait pas que je lise pour l'instant ses écrits, mon propre travail - qui avait pourtant, à l'époque, connu quelques réalisations qui n'étaient pas ridicules du tout - ne l'intéressait pas.
Peut-être était-ce une posture ?
Peut-être était-ce un test ?
Toujours est-il que, dans cette ambiance pesante, confronté à cette seule question (étais-je prêt à m'engager dans une vie d'homme au foyer pour la servir ?), je me suis demandé ce que je faisais là, je me suis dit qu'il allait falloir faire bonne figure, que la soirée allait être longue, que j'espérais trouver le sommeil.
Était-il possible qu'une fille si intelligente me propose vraiment, strictement, une relation de couple à l'ancienne, où les rôles du dominé et du dominant seraient simplement inversés ?

Je sais qu'il était encore tôt, le milieu de l'après-midi, quand elle m'a fait cette description. Je me souviens dans les moindres détails de mon arrivée, de cette prise de contact, et de la description qu'elle a faite. En revanche, à part le sentiment d'absurdité qui s'est abattu sur moi, ma mémoire a occulté les heures qui ont suivi. Je sais qu'elle m'a fait visiter la maison dans le détail (c'est ce qu'on fait, j'imagine, quand on engage du personnel de maison). Mais ensuite ? Est-ce qu'elle m'a laissé seul pour réfléchir à sa proposition pendant qu'elle retournait à sa table de travail ?
Est-ce que nous avons, quand même, un peu parlé ?
Ce qui est sûr, c'est que toute possibilité de rapport de séduction était anéantie, pour moi, par la situation, par le cadre, par son attitude.
Il fallait seulement attendre.
Attendre mon train du lendemain.

Les êtres humains civilisés ont une grande capacité de politesse.
Nous avons dîné, j'ai dormi dans la chambre d'amis, nous nous sommes salués le lendemain matin.
En partant, je lui ai dit que j'avais besoin de temps pour réfléchir à sa propositon.
Elle m'a dit que je pouvais prendre mon temps, car elle avait tout de même conscience qu'une acceptation impliquait d'importants changements pour moi. C'est sans doute la seule phrase empathique, ou au moins, tenant compte de mon existence, qu'elle a prononcée.

Malgré le trou noir de ma mémoire sur toute la fin d'après-midi et une bonne partie de la soirée, je suis sûr d'une chose.
Je ne l'ai pas touchée, pas effleurée, pas embrassée, à peine approchée.

Pendant tout le trajet du retour, je me suis demandé ce que "diable, j'étais allé faire dans cette galère".
Je m'en suis même voulu d'avoir perdu mo temps.

Avec le recul, je suis bien sûr content de l'avoir fait.
Je ne sais pas dans quelle mesure elle testait. Dans quelle mesure elle était mal à l'aise, et tellement plongée dans ses passions qu'elle manquait de savoir-faire dans les relations humaines.
Dans quelle mesure, elle cherchait vraiment un soumis : quelqu'un qu'elle souhaitait dominer absolument, dans tous les domaines, en étant plus forte physiquement, mais aussi socialement (on domine son domestique) et intellectuellement. Sur ce dernier point, choisir un intellectuel pour ne pas s'intéresser à lui et mépriser son avis pouvait être une satisfaction ultime, j'imagine.

Je ne suis pas du tout soumis.
S'il y a parmi vous de vrais soumis, vous êtes déjà demandé si au-delà d'une séance d'une heure de soumission, une vie réelle construite sur ce modèle pouvait vous satisfaire ?

* La boutique d'Athena2 était un lieu très étrange. Plutôt glauque, par certains côtés. Mais aussi un lieu intéressant. On pouvait y faire de vraies rencontres. J'y ai rencontré Pierre Samuel, qui était déjà un assez vieux monsieur, devenu ami de Florence, et qui était beaucoup plus bavard qu'elle. J'ai toujours l'exemplaire dédicacé  qu'il m'avait offert de son fameux livre (à l'époque introuvable).

** Je ne suis pas expert de cette notion.  Pour ceux que ça intéresse :
 https://www.franceculture.fr/emissions/mauvais-genres/l-amour-des-femmes-puissantes-ou-eloge-de-la-viragophilie-rencontre-avec
http://sexes.blogs.liberation.fr/2016/03/13/une-femme-qui-attaque-mains-nues-jouissif/

[petitskinny]

@Jullyeg :  Merci ! Merci ! Merci pour tout ces récits ! Je crois que tu as rencontré aussi Rambolina, Amazon Cynthia... D'ailleurs que recherches tu dans les sessions ? Qu'est ce qui te fait le plus vibrer ? Les bras de fer ? Le L&C ? Les différences de taille ? De force ?

Je me souviens de cette N.G et de ses bouquins super intello Elle a eu du succès depuis ?

[jullyeg]

@Jullyeg :  Merci ! Merci ! Merci pour tout ces récits ! Je crois que tu as rencontré aussi Rambolina, Amazon Cynthia... D'ailleurs que recherches tu dans les sessions ? Qu'est ce qui te fait le plus vibrer ? Les bras de fer ? Le L&C ? Les différences de taille ? De force ?

Je me souviens de cette N.G et de ses bouquins super intello Elle a eu du succès depuis ?

Je ne sais pas si on peut parler de succès, parce que ça reste plutôt confidentiel, mais une certaine reconnaissance, critique et universitaire, oui, je crois.

Ce que je cherche dans les sessions ? Si la fille a une personnalité assez forte pour me surprendre, je ne demande qu'à être surpris.

Mon attente personnelle est toujours allée du côté d'une rencontre "GFE". Que la fille se comporte comme ma petite amie, de la façon la plus sensuelle possible. Et ce qui m'intéresse, et me plaît, c'est de voir comment le rapport des corps va créer une "relation" d'abord, et puis surtout de la sensualité et de l'érotisme.
Si une fille est musclée, mais qu'elle est en quelque sorte étrangère à son propre corps, si elle ne sait pas quoi en faire, est mal à l'aise avec, si elle n'est pas consciente de l'effet qu'il produit, ni intéressée par en jouer, je risque de m'ennuyer. Et ça m'est arrivé un bon nombre de fois.

Quant au profil physique, c'est hyper varié.
Le critère constant, et indispensable, c'est la féminité.
Mais je peux aimer des filles type fitness, des bodybuildeuses, des powerlifteuses, des filles très grandes et minces, des grandes bbw etc.
Par ailleurs, ce goût n'est pas exclusif. Mes compagnes successives ont toujours été minces et petites, et je n'ai jamais eu à me forcer pour les trouver désirables.
Mais c'est vrai que le fantasme qu'on peut appeler "viragophilie" est une partie très importante, et même dominante - c'est le cas de le dire - de mon univers érotique.
Il se résume à ça : le plaisir d'être face à un corps féminin "supérieur" au mien : maternant, protecteur... ou parfois plus joueur et provocateur.

Mais le corps sans la conscience ne donne rien.
Au début des années 2000 j'ai commencé, pendant un battement de presque quatre ans entre deux relations longues, à faire beaucoup de rencontres via des sites de rencontres.
J'ai eu beaucoup beaucoup de relations courtes, avant de me stabiliser à nouveau.
Comme je multipliais les rencontres, je me suis amusé aussi à faire des recherches sur des critères "viragophiliques".
À chercher les filles les plus grandes.
Et parmi d'autres tentatives, quelques profs de sport, et quelques filles d'1,80m (ce qui ne m'était jamais arrivé avant), j'ai fini par rencontrer une fille magnifique, via un site un peu spécialisé, d'ailleurs.
Elle mesurait 1,88m. À peu près 130 kgs incroyablement bien répartis : une betty boop géante. Elle était jeune et n'avait pas de bourrelets. Des fesses et des cuisses toutes rondes. Pas de ventre. Des épaules et des hanches larges. Une très forte poitrine. De très longs cheveux. Un magnifique visage.
Un fantasme fellinien vivant.
On a eu une relation le premier soir. Elle est tombée très amoureuse. J'ai essayé, le deuxième soir, de lui dire que la relation de nos deux corps impliquait qu'on en fasse quelque chose, que mes petites copines précédentes étaient petites et qu'elles s'asseayaient sur moi, par exemple, et que là on pourrait faire l'inverse... parce qu'on n'avait pas le choix, c'étaient nos corps qui parlaient !
Et j'ai essayé. Je ne l'ai vue, pendant quelques semaines que chez elle, notamment parce qu'elle souffrait d'une agoraphobie très forte et handicapante. Bien qu'on se voie chez elle, elle a mis des talons, m'a accueilli en m'étreignant, en me soulevant une peu, pour me faire plaisir. Elle m'a pris sur ses genoux, on a regardé des films, allongés, moi sur elle, son bras autour de moi, elle m'a porté dans ses bras, même, pour me faire plaisir. Elle n'était pas vraiment musclée, mais avait fait beaucoup de natation, étant ado, ses épaules et ses bras étaient puissants,  elle pouvait faire ça assez facilement.
Elle était prête à faire des efforts touchants : elle pensait ne jamais rencontrer quelqu'un qui lui dirait autre chose que "fais des efforts" et "prends sur toi" concernant sa phobie, elle me trouvait compréhensif, et elle se disait que j'étais l'homme de sa vie.

Il se trouvait que je partais travailler à l'étranger peu après, et que j'ai préféré arrêter cette relation (qui aura été brève).
Je voyais bien l'impasse : elle faisait des efforts. Rien de tout ça n'avait de sens pour elle, je lui imposais mes lubies, je ne pouvais pas en profiter vraiment, c'était des tentatives inabouties et insatisfaisantes. Pourtant, son corps avait tout ce qu'il fallait pour me combler.

Je prends cet exemple pour illustrer  le fait que dans la vie, comme dans les sessions, le corps ne suffit pas : l'intention, la conscience de soi, la capacité à jouer, le désir (une femme qui jouit de cette position de supériorité saura bien mieux faire fantasmer et jouir un homme) sont primordiaux.

Donc, pour résumer, qu'une fille soit bodybuildeuse ne me suffit pas.
Il faut que je la trouve belle et proportionnée.
Qu'elle soit belle et proportionnée ne suffit pas : il faut qu'elle ait envie de jouer avec son corps et avec moi, et sache le faire bien.
Une fille de 2,05m et 180 kgs peut être toute timide et ne rien savoir faire de son corps surdimensionné.
Elle peut aussi ne pas être belle (Rambolina ne me fait pas rêver) :-(

Certaines ont appris.
C'est amusant de voir Severa, toute jeune, dans ses premières vidéos, totalement maladroite, peu sûre d'elle... et comme elle a progressé en quelques années, au début de sa carrière.


Pour finir, les porters, bras de fer, comparaisons etc ne m'amusent pas en eux-mêmes, mais comme des jeux érotiques.
Me faire soulever et promener pendant dix minutes d'affilée dans une chambre d'hôtel, non merci.

Chacun ses fantasmes. Je comprends parfaitement qu'un porter de ce type plaise à d'autres. Et que d'autres encore aient le goût de la lutte, par exemple.

Bon, je vais laisser un peu de temps avant de raconter les deux ou trois derniers trucs, assez anciens encore, auxquels j'ai repensé.
Je ne voudrais pas monopoliser le forum, même en cette période de vaches maigres...

[dav085]

Bonsoir,

j'ai pu lire avec délectation certaines histoires de phicam et de jullyeg ce soir.

Pour ma part, j'ai commencé les sessions de lutte compétitive en 2016, j'ai eu l'occasion de lutter avec :

Kristie Etzold : Première session de ma vie, le must pour une première je pense, Kristie est hyper attentive et la plus gentille du monde. la moins forte de toute je pense mais la plus expérimentée et celle qui vit le plus son job.

Rene Hronova : FBB bien connue, très puissante, elle m'a démolit en lutte compétitive sans aucune autre forme de procès. j'ai ue mal pendant 3 ou 4 jours après.

Sheena : le top niveau judo et beauté féminine

Suzie : Envoutante et assez technique, elle adore utilisé ses pieds pour dominer.

Cinthia du brésil (2x): une amazone très grande et très puissante, impossible de la bouger. très sensuelle en plus.

Ina black : La plus forte ! la plus technique et 100 kg !

Amazon Amanda : Huge, pas la meilleure session. Elle est sympa mais toute la session était awkward.

Puma de Londres (58 ans) : Femme de petite taille, ex-gymnaste, très technique et probablement un peu dérangée mais très sensuelle.

Dakota Rose : Jeune anglais, jolie mais super maquillée. Elle a des jambes très puissantes pour son age. 1 an de BJJ et je n'ai pas su la battre une seule fois...


N'hésitez pas à demander plus d'infos si vous en avez envie

[petitskinny]

]Julyeg : Merci encore. Ton histoire avec la jeune amazone solidement bâtie de 1m88 pour 130kg m'a tout émoustillé ! Combien pesais tu à l'époque ? Elle devait bien faire le double de ton poids ?